Chapitre 12 : je me suis créé le speed queuting, un jeu spécial Bangkok

Bon ce chapitre là, il ne va pas me mettre tout en haut de votre jugement moral. Tant pis.

Les faits sont les suivants : j'ai deux régulières, une avec un cul atomique et l'autre avec une poitrine unique. A côté, chaque mois, je mets toujours 2 ou 3 coups dans des nouvelles gueuses en guise d'exploration entretien de la machine. Faut pratiquer son art régulièrement, s'entraîner, sinon on décline vite...

Bref, tout ça a commencé à ronronner un peu. Plus aucune difficulté. Plus aucune limite. Plus de solutions à trouver. Plus de remise en cause. Plus d'apprentissage.

Dangereux ça... La dépression dure me guettait. J'ai préféré prendre les devants.

Je me suis créé un jeu très spécial, de quoi attiser mon challenge perso en matière de jouissance féminine.

Jusqu'à présent, je naviguais dans les eaux troubles de la femme entretenue, restant à l'écart des zones de prostitution pure type gogo ou tapin de rue / maisons spécialisées. Relire http://www.charlesdereeper.com/vivreenthailande/ch4.html

J'ai bien sûr fait quelques excursions en zone tapin, mais le fait est que je ne suis pas fana. Pour plusieurs raisons.

Je kiffe pas du tout le fourrage d'une bombe moyennant finance, sans contact, sans interaction, à la va vite en short time une heure. Je ne fais pas partie des hommes capables de décoller en regardant juste ou en touchant le corps d'une femme. Très franchement, je m'emmerde même et si la femme ne s'ouvre pas un peu, qu'il n'y a pas de contact, je ne me termine même pas la plupart du temps. Ne pas se terminer, c'est frustrant. Donc, j'évite. Il est impératif pour mon plaisir que la partie soit jouée à deux.

En outre, fourrer un tapin a du sens quand il est nécessaire de fourrer au niveau quantité. Vu mon mode de vie où je suis obligé de me battre pour dormir seul peinard une ou deux nuits par semaine, autant dire que le facteur quantité est le dernier de mes soucis.

Mais dans mon sale esprit pervers de dégénéré a germé une idée un jour :

Qu'est ce qui peut être le plus dur dans notre sport ? Quel peut être le plus gros challenge à relever ?

La réponse que j'ai trouvé (j'en conviens, c'est moche mais logique), c'est de tenter de faire jouir un tapin !

Ca, c'est du vrai sport de haut niveau.

Attention, prendre un tapin en début de soirée, l'emmener manger, le sortir dans un club dancing, lui tourner autour toute la soirée pour l'ouvrir et lui détendre les ovaires, puis queuter derrière et la faire décoller, ça, c'est déjà fait, maîtrisé avec un bon taux de réussite. Limite ennuyeux sans surprise aujourd'hui.

Non, là, il me faut du plus résistant, du dur de dur, du mission impossible.

Les durs à cuire à Bangkok, ce sont les plus belles, les femmes des gogos qui se font tirer deux fois par soir, fermées de chez fermées, dans les usines à japonais.

Oui, les japonais n'ont pas du tout notre morale. C'est une institution chez eux que d'aller tirer de la gogo à numéro sur un podium. Ils passent commande comme dans leur resto.

Alors, qu'est ce que je vous sers ce soir ? Euh pour moi, ce sera le numéro 91 !

Pour un français croyez moi, on se sent super mal à faire ça. Le petit Jésus et la Bibble ont du dire que c'était pas bien parce que putain, faut assumer. Les femmes ne sont pas des objets bordel. Il y a un coeur qui bat avec des émotions dedans. Si si... Comme nous les hommes... Bon dès fois franchement, si elles pouvaient arrêter de faire chier et être un peu plus objet, on est un paquet à ne pas y trouver d'inconvénient au changement...

Je me suis donc mis en tête de parvenir à faire jouir une gogo en une heure chrono sans jamais l'avoir vu avant.

Disons le franchement, pour l'instant, j'ai échoué. Garce. Elle résiste. Ahhhhh. Enfin des difficultés !

Il faut dire que le challenge est costaud.

J'arrive en gogo. Je repère une mignonne. Je la commande, les yeux sur mes chaussures tout penauds. Charles est un cochon. Le paquet arrive livré plus vite que Amazon. Charles est un cochon, mais il est désormais au dos du mur et doit assumer ses conneries, le paquet le regarde... Charles pense toujours qu'il est un cochon.

Et là, je dispose de moins de 20 minutes pour tenter de créer un contact. Ensuite, on se casse à l'hôtel et je tente de trouver la faille dans la chambre qui va la détendre, la sécuriser, la mettre à l'aise, pour ensuite démarrer les festivités, isoler son mode opératoire sexuel et la faire décoller.

J'ai appelé ce challenge LE SPEED QUEUTING en référence au SPEED DATING.

D'un côté, ce n'est pas désagréable, car ce sont vraiment des corps d'exception. Quand désormais on me montre sur internet des femmes dénudées qui font fantasmer, je reste de marbre. Tout simplement parce qu'avec les gogo, j'ai expérimenté au moins l'équivalent si ce n'est pas encore plus roulé parfait.

Mais de l'autre, la finalité est le contact sexuel aboutissant à un échange. Et là, il faut vraiment être bon. Très très fort. Devenir numéro 1 dans la vie d'une thaïe question cul, en une seule soirée, l'éblouir en 5 étoiles, sérieux, c'est arrivé tellement de fois que mon ancien challenge de l'an dernier, est de la vieille histoire. Faire perdre les pédales aux femmes en les poussant au maxi. Pfffff, de l'histoire ancienne ça aussi. Relire http://www.charlesdereeper.com/vivreaucostarica/Ch13.html

Mais là, faire jouir une gogo en une heure, ouffff, je m'attaque à du très lourd là. Elles sont ultra résistantes. Elles ne m'offrent que rarement des portes d'entrée et je ne peux pas les embarquer sur mon territoire circuit touristique spécial détente du vagin.

Je n'ai que ma puissance émotionnelle pour tenter de les ouvrir. Trouver les bonnes portes d'entrée pour les ouvrir, est stimulant.

Pour l'instant, le meilleur résultat que j'ai obtenu fut un premier but au bout du troisième test sur la même. Il m'a fallu trois soirs donc. C'est une petite victoire. 3 heures de jeu. Cela reste du sport de haut niveau. C'est court. Charles a réussi à faire jouir une gogo hahahaahha. En plus, ce n'est pas pour me jeter des fleurs, mais elle a lutté la garce pour ne pas partir. La vache. Je l'ai vu faire en plus. Mais je suis resté implacable.

Ma cocotte, tu bois la tasse aujourd'hui. Tu plonges. Tu vas plonger. Je te tiens...

Elle se débattait comme une sauvage contre son corps qui lentement mais surement, la trahissait, ce qui était plutôt délicieux à piloter et fort instructif au demeurant en tant que nouvelle expérience. Une très bonne idée ce nouveau jeu que je me suis créé.

J'ai l'impression qu'elles mettent toutes un point d'honneur à ne pas s'investir. On ne jouit pas avec un client. On ne jouit pas avec  un client.

Tu vas voir ton concept ce que je vais en faire moi... je vais te le plier en deux ton truc de pas jouir avec un client... Je vais te le rendre en pièce détachée... tout pété...

Tout était aligné correct. Elle n'avait aucune chance. Il y avait une adéquation génétique et elle me plaisait bien. J'ignore si je lui plaisais. Elle était tellement dans le contrôle que même mes scans intuitifs passaient pas. Enfin, son mode opératoire sexuel chouchou, différent d'ailleurs de la masse, je l'ai rapidement identifié et c'est un truc que je sais très très bien faire. Du coup, elle était cuite. Ce qu'il y a de fou, c'est qu'elle a fini par lâcher. Elle a explosé. Dans la minute où nos corps se sont séparés, boum, elle a remis en place son solide contrôle et tout s'est refermé d'un bloc. L'ingrate... !

Mais cette première victoire ne doit pas cacher que je m'y suis repris à trois fois. Non, il faut pour afficher une victoire en une heure chrono.

Une fois par mois environ, je joue donc au SPEED QUEUTING. Je me fais une ou deux gogos pour tenter ma chance. Cela a du bon, car après quand je reviens au jeu plus traditionnel des rencontres de la zone grise des femmes entretenues, je survole. Tout semble si facile. 

Lu 893 fois Dernière modification le vendredi, 12 juin 2020 14:51

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