Chapitre 20: Gagner ou perdre face aux femmes !

HAHAHAHAHAHAHA.... !

Le grand sujet des femmes...

Je vais vous parler aujourd'hui de faiblesse dans le domaine des relations amoureuses du point de vue de l'homme. La faiblesse des hommes fait la force des femmes. Oui, c'est vrai. On le lit partout et il est impossible de nier cette vérité. Mais ce que peu d'hommes pigent dans leur vie, c'est que les femmes ont aussi des faiblesses en dehors des beaux gosses, des mecs fortunés, connus ou à compétences hors barême.

Tout a démarré...

C'est marrant parce que toute ma vie de 15 à 40 ans, j'ai été très largement dérangé par les mecs misogynes. Ils avaient tous le même profil. Des beaux mecs qui enchaînaient les femmes jusqu'à mal en parler.

Il paraît qu'on est toujours dérangé par les vérités qu'on ne veut pas regarder en face...

J'aimerais que la vérité qui me dérangeait ait été que je sois un beau gosse qui s'ignore... héhéhé. En réalité, ce qui m'a complètement échappé, c'est mon inexpérience des femmes. C'est pas en sortant 30, 40 ou 50 françaises qu'on y comprend quelque chose à ce sale jeu.

Les beaux gosses misogynes le deviennent par contacts nombreux avec la gente féminine.

Ca, j'avoue, je ne l'ai pas saisi. Il aura fallu que je m'envois autour de 75 femmes en trois ans dans différents pays du monde pour piger.

Maintenant, ça va, j'ai imprimé le sujet... et je suis devenu par la force des choses misogyne également. Il n'y a aucun moyen d'y échapper.

Je crois qu'il vaut mieux finalement rêver et rester dans une douce illusion vis à vis des femmes plutôt que d'expérimenter pour mieux cerner la réalité. Parce que cette réalité pue un peu. Bien sûr, il y a toujours les 5% de cas rares tout jolis derrière lesquels tout le monde s'abrite, se rassure, rêve... pour ne pas regarder la distribution des 95%...

A Bangkok, on a pas mal potassé le sujet depuis trois mois (après un run de plus d'un an en ligne droite où on a fait à peu près n'importe quoi...), aidé par mon deuxième Tony de Bangkok (à ne pas confondre avec tonio l'espagnol qui fait parti aussi du team) qui après 5 ans sur le terrain et une certaine sensibilité doublée d'un très bon esprit analytique, est devenu un as de la compréhension des femmes. Il m'a économisé beaucoup, beaucoup de trimestres de tâtonnements (quoique tâtonner le cul des femmes pour apprendre n'est pas désagréable en soi... hahahahah).

J'en ai pris conscience récemment, car j'ai un allemand de 50 ans collé aux fesses de ma régulière, qui est en train de sauter. Tout allait bien pour lui avant que j'entre en compétition frontale, sans le savoir d'ailleurs, ces garces de thaïes sachant mentir ou omettre avec un art suprême. J'ai pu lire son comportement depuis qu'il est sur la sellette officiellement, à travers ses messages que ma régulière me montre. J'ai lu son désarroi, ses tâtonnements et aussi son inexpérience complète malgré ses 50 ans qui l'empêche de saisir ce qui se passe.

Et c'est là que j'ai percuté à quel point en 18 mois, j'avais explosé ma courbe d'apprentissage. C'est d'ailleurs en partie en pensant à son expérience douloureuse, provoquée donc à cause de moi, que j'ai accéléré le calendrier de mon évolution sur le sujet des femmes. Pas envie de finir à 50 balais comme lui, dans le noir, à me faire manipuler parce que je suis une quiche qui subit la norme sociale du respect de la femme. Et ce jeu n'est en rien une affaire d'intelligence. Cet allemand a du blé. Il est chef d'entreprise avec une longue expérience internationale. C'est un truc de survie. Il passe complet à côté de l'épreuve en s'y prenant vraiment comme un manche, sérieux !

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Revenons à nos moutons à nichons...

Il faut dire que les Thaïes sont beaucoup plus dangereuses que les françaises (et en même temps, beaucoup moins casse couilles aussi), car elles agissent comme des hommes au niveau comportemental. Elles nous renvoient donc le même challenge à relever qu'elles ont à traiter elle même pour attraper un amoureux. On se retrouve en face de nous mêmes. En clair, elles se font tirer de tous les côtés, enfiler chaque jour ou presque. Du coup, elles sont aussi intenables que nous le sommes...

Rien à voir avec l'asymétrie qu'on connaît en occident où les hommes sont censés être obsédés perpétuel et les femmes, des gentilles innocentes qui subissent la pression des pulsions masculines... quand on voit les thaïes sur le terrain, on pige rapidement qu'il ne s'agit que d'une vulgaire histoire de culture, de norme sociale et de religion. Les femmes sont aussi bien faîtes pour baiser en permanence que ne le sont les hommes, à moins qu'on leur bourrine sournoisement leur crâne dès l'enfance en leur expliquant qu'en gros, on ne baise pas tous les jours. C'est pas bien...

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J'ai pas mal réfléchi à modéliser à partir de notre base d'expérience de Bangkok et Costa Rica. On a un avantage majeur en effet en tant qu'homme, c'est qu'on détient le pognon et l'aptitude à faire de l'abstraction stratégique... ce que les femmes sont bien incapables de faire.

Ce n'est pas de la misogynie mesdames. C'est une réalité... la stratégie, c'est pas votre truc. Heureusement pour nous putain...

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En revanche, les femmes détiennent un terrible atout pour faire galoper les hommes, soit un beau visage, soit une belle paire de seins, un superbe cul ou un comportement torride au lit avec au menu sex no limit.

En tant que mecs, il faut bien reconnaître qu'on a aucun contrôle de la situation sur ces sujets là.

Aussi, par analogie avec ce qui se passe dans plusieurs pays que j'ai expérimenté (c'est important de jouer dans plusieurs normes sociales diférentes pour éviter les manipulations), je pourrais résumer le jeu avec quelques grands repères.

Une majorité d'hommes aujourd'hui perd la guerre des sexes au jeu amoureux. Les femmes ont réellement le pouvoir dans la majorité des pays, protégées par la politique, le droit, la religion et la norme sociale. Heureusement encore une fois que les hommes n'ont pas abandonné la suprématie dans le pognon. Sinon, on aurait signé notre arrêt de mort. La liberté financière des femmes, faut le mettre le hola rapidement avant qu'il ne soit trop tard. Sinon, bonjour les dégâts derrière. Les mecs réveillez vous, pendant qu'il est encore temps.

Du fait de leur pouvoir, les femmes abusent. J'ai bien conscience que si les hommes avaient le pouvoir, ils en abuseraient aussi. Mais j'en ai rien à battre. Je suis un homme. Je milite donc pour mon propre pouvoir. S'il doit y avoir guerre, autant gagner.

Concrètement, la guerre, cela veut dire que 80% des hommes (au physique normal et sans atout pour les faire ranker plus fort sur le marché de la femme, donc sans pouvoir, argent, notoriété, compétences particulières...) sont brisés dans des aventures amoureuses où ils ont ouvert leur coeur sur une mauvaise partenaire qui trichait plus ou moins. Les femmes changent tellement souvent de feelings, avec le cortège de pensées qui vont avec, qui font 180 degrés sans aucun souci quand l'état émotionnel se modifie, qu'on peut parler facilement de triche.

En clair, oui, une femme peut vous kiffer, mais cela est vrai tant que vous ne sautez pas sur une mine, traduisez que vous ne heurtez pas un sujet non négociable explosif... Sur les 75 que j'ai fréquenté, une bonne quinzaine m'a vraiment kiffé, c'est à dire que le long terme était sur la table de leur côté. J'ai fait la sourde oreille.

Ce qui est marrant, c'est d'expérimenter quand on y croit pas. J'ai provoqué des crises pour voir comment la logique long terme tenait le coup face à une crise court terme... J'ai vu.

Après les grandes déclarations et les vraies ouvertures du coeur, j'ai vu ce que c'était que de sauter sur une mine à froid, délibérément pour voir le niveau de conviction de la femme. J'ai poussé le bouchon assez loin. Celles qui sont revenues à la charge, c'est qu'elles en voulaient vraiment, parce que franchement, j'ai mis la dose !

Trois ont eu de la conviction... Et en même temps, j'ai pas testé à long terme sur plusieurs années leur conviction... mais avec ce que j'ai fait, y avait une vraie volonté.

Je sais maintenant ce que c'est qu'une femme prête à s'engager avec un homme. Je ne parle pas des engagements de madame tout le monde qu'on peut voir partout. Ce genre de plan, à la première secousse, ça saute.

Je parle de femmes qui sont prêtes à assumer même en cas de difficultés.

Quand aux autres, soit je ne vaux vraiment rien de chez rien sur le marché du coeur... ou soit, hum hum, vous connaissez déjà ce que tous les hommes qui ont tâté 100 sujets et plus, finissent par conclure...

Revenons à la guerre de l'amour entre hommes et femmes.

Au delà des 80% de perdants, il reste les 10 à 20% d'hommes beau gosses ou comestibles ou qui ont des atouts majeurs dans leur jeu, qui ne s'investissent pas (ou partiellement et pour cause, quand on rentre dans un stand de tir avec un flingue à la main... on tire massivement jusqu'à plus soif !). Le clan des beaux gosses enchaînent les relations. Ces mecs terminent au compteur avec 200, 300, 500 relations... Ils laissent dans leur sillage un paquet de femmes sur le carreau !

Je ne sais pas si le clan des beaux gosses fait plus de dégâts que le clan des 80% de mecs normaux, mais il est certain qu'ils font un carnage.

Idem du côté des 20% de belles femmes, femmes bandantes ou chiennasses au lit, trois catégories particulières qui bousillent un paquet de mecs dans leur vie.

Quoiqu'ils arrivent, grosso modo, les 80% de femmes normales gagnent la guerre sur le clan des hommes normaux.

C'est marrant, entre deux avions, je discutais hier à Miami south beach avec un grand black baraque. On parlait de cul à Bangkok. Il était mort de rire, mais il a lâché sans que je lui demande, qu'il était bien gêné par le pouvoir des femmes aux USA. Je l'ai regardé surpris. Il venait de verser de l'eau à mon moulin. Partout, les femmes gagnent majoritairement. Elles ont toujours le dernier mot. C'est la réalité qu'il faut accepter en tant que mecs normaux.

Toute la question pour survivre en tant qu'homme normal, est donc de trouver une faille dans cette bataille cruelle. Une faille présente uniquement chez les femmes, un comportement qui donne un avantage certain quand on est un homme.

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Cela tombe bien, j'adore trouver des failles dans les organisations humaines. Le sujet tourne donc dans un coin de ma tête depuis des semaines. Je projette des centaines de scénarios, en cherchant un truc qui fait mouche dans ma problématique... Et puis, j'ai fini par piger et extraire le bon truc de tout ce que j'ai vu depuis 18 mois.

Ce qui a débouché sur un nouveau défi en perspective à relever...

Mettre dans une position de faiblesse une chiennasse bandante, ahahahaha... le défi est élevé. Mes potes de Bangkok me regardent souriant, genre impossible, mais vas y, relève le défi, sait on jamais que tu y arrives quand même, vu que tu es dingue, tu en serais bien capable finalement... Allez tu as notre soutien. Si on peut profiter après, fonces !

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Je parle d'harponner à long terme le truc hyper volatile, peu manoeuvrable et peu ouvert aux débats contradictoires... qu'est la chiennasse bandante harcelée par tous les hommes ! A LONG TERME ! Tenir un engin de guerre à la maison exige d'être bon. Très bon ! Meilleur que 95% des mecs. Sur la durée en plus. Parce qu'un engin de guerre, c'est un engin qui au moindre moment de faiblesse, au moindre choc, à la moindre contrariété, se fait embarquer par un autre. A moins que l'engin soit suffisamment bien harponné pour ne plus bouger...

Je ne parle pas d'une femme normale, issue des 80%. Quelle différence ? Il existe en fait une hyprocrisie dans ce domaine. Les femmes normales n'imaginent pas trop le niveau de harcèlement que subit la femme au physique explosif. Il faut fréquenter le quotidien d'une bombe atomique qui se fait aborder cinq à dix fois par jour, chaque jour de la semaine, chaque mois et chaque année de sa vie, pour piger la différence. Obligatoirement, le jeu se complique car la femme en question devient intenable. D'où le défi...

Résumons !

Comme je le disais au chapitre 17, Ch17.html, et au chapitre 13 Ch13.html il y a environ 10% de classe 4 et 10% de ces 10%, soit 1% qui trouvent le partenaire adéquat, selon les études terrain. Or, nous savons qu'il y a environ 3 milliards de femmes sur terre. Faisons abstraction des 500 millions d'africaines. Je ne suis pas fana ! J'ai donc 30 millions de cobayes potentiels sachant que la victoire est acquise dès le premier exact match. Certes, sur ces 30 millions de femmes target, il y a la composante bandante qui accompagne le mot chiennasse. Imaginons que j'ai une proba de 1% sur la double requête bandante et chiennasse. Cela fait 300.000 femmes sur terre.

Il m'en faut une pour faire mon expérience.

Comment faire pour attirer une femme parmi 300.000 sur 3 milliards au départ de possibilités ?

La question est donc :

Qu'est ce que ces 300.000 femmes peuvent avoir en commun vu leurs caractéristiques chiennasses et bandantes ? J'ai brossé un portrait robot imparfait, mais qui suffit pour les tracer et les attirer.

Car il y a deux composantes. Un, choper et deux, verrouiller !

Ensuite, j'ai renversé la question. Qu'est ce qu'un homme doit absolument avoir pour attirer cette race de femmes et la maîtriser, car obligatoirement ensuite, la problématique est réglée. Quand on est un homme normal, si on fréquente 100 femmes d'une catégorie bien identifiée, il y en a forcément un pourcentage qui sont prêtes à s'engager à fond, surtout si on sait optimiser son propre jeu avec ce qu'il y a de contrôlable.

Une fois qu'on tient ces paramètres, le mécanisme de mise en position de faiblesse est simple ! Ultra simple ! Car oui, les femmes ont une faiblesse majeure dans leur jeu amoureux, qui repose sur leur configuration d'enfance.

La réponse est ici sur mon blog de THAILANDE : http://www.charlesdereeper.com/vivreenthailande/ch7.html

C'est depuis le Costa Rica que je vais préparer et démarrer mon opé, mes deux Antoine en support aérien et quelques autres énervés qui n'ont pas renoncé à se battre !

HAHAHAHAHAHAAH.....

Pour finir, je discutais récemment avec un auteur de 60 ans qui a une longue expérience de la vie internationale. Il me soulignait un point phare : les hommes cherchent, cherchent et cherchent leur petite femme à eux sans trouver. A la fin, ils s'essouflent, craquent et prennent la première du moment de faiblesse en faisant un gros compromis, lequel compromis leur explose à la tronche des années plus tard.

J'en ai vu beaucoup effectivement.

Il y a un autre point qu'on voit sur le terrain, en dehors de la faiblesse de la volonté, c'est l'absence de connaissance. Beaucoup d'hommes ne savent pas bien ce qu'ils veulent ou alors, ils savent exactement ce qu'ils veulent, mais pensent que c'est impossible à avoir et abandonnent dès la ligne de départ le combat, en choisissant autre chose qui leur pète aussi à la gueule des années plus tard.

Je dédie cette page à Franck, français de 23 ans de Bangkok, tombé sur le champs d'honneur de l'amour face à une thaïe bandante à mort (18.000 fans sur sa page facebook, une véritable arme de guerre). Son histoire m'a énormément fait réfléchir. Sans stratégie élaborée ou un gros atout au départ dans son jeu (et il en avait pourtant un), un homme n'a presque aucune chance de gagner ce truc cruel qu'est la relation amoureuse.

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