Chapitre 8: Vivre sans être paumé comme un con

Pourquoi ?

Je rencontre tellement de gens paumés, malheureux, drogués que j'ai fini par modifier ce site pour y insérer quelques réflexions tirées de mes expériences personnelles réussies. J'espère qu'elles inspireront certains d'entre vous. Attention aux âmes sensibles, je ne suis pas là pour vous convaincre d'acheter. Donc, ça sort brut de chez brut. Pas de chichi. Ceux qui aiment les angles arrondis, je vous conseille de ne pas lire. Mon univers n'est pas réglementaire socialement.

L'ennui avec le cerveau humain, c'est qu'il masque la réalité et la dévoile au fur et à mesure que l'individu accepte ou non de s'interroger. Avec ce système, on comprend toujours que ce qu'on mérite, que ce que nous acceptons de regarder. Une petite mauvaise surprise de temps à autre, histoire de ne pas trop roupiller, mais franchement, tout le monde peut y aller à son rythme...

A titre personnel, je me suis imposé une discipline de fer dans ce domaine depuis 1993 dès l'âge de 20 ans me forçant au déséquilibre permanent des expérimentations et de la prise de risque. En ayant observé ma famille dans mon enfance, je me suis dit qu'il valait mieux choisir cette voie du pied au plancher que de traîner en route.

Je suis donc un brin confus devant la paresse de beaucoup et le rythme extrêmement lent d'évolution des autres. Je manque d'acceptation et de tolérance dans ce domaine. Je confesse... tout particulièrement quand ces mêmes paresseux et escargots se baignent dans leur malheur en l'attribuant à tout sauf à eux mêmes. Oui, j'avoue que je vis des pics de frustration et d'absence de compréhension ou patience quand je les vois. Certes, je m'arrange pour ne pas croiser leur route trop souvent. Mais qu'il est dur de les regarder se planter sans ne rien pouvoir faire.

En fait, je m'en sors avec ceux qui avancent lentement. Il y a toujours quelque chose à partager avec eux. Dans cette page, je vais surtout taper sur la masse de ceux qui expliquent à tout le monde qu'ils vont super bien et que cela ne sert à rien de se prendre la tête, qu'ils ne sont pas concernés par tous ces gens à problèmes qui cherchent à évoluer, nous expliquent ils... entre deux cuites, une absorption de sucre quatre fois supérieures aux besoins réels, trois pétards ou deux somnifères / anti dépresseurs pour calmer leurs angoisses. Face à quelqu'un qui souffre, on peut tendre la main. Face à un crétin limité et idiot, on ne peut malheureusement rien faire. Et c'est à ce stade que moi, ça coince dans mon crâne. Le crétin, j'ai une furieuse envie de lui dire, de le secouer. Je pourrais en théorie accepter ses limites et rester indifférent. Seulement, je ne suis pas parfait. J'ai des carences. Désolé. Il faut que je me les fasse.

 

Le passif culturel des religions à assumer

Les grandes religions représentent toutes, sous couvert de faire le bien, une tentative de domination révoltante. J'ai par chance conserver dans mon enfance une fraîcheur qui m'a fait envoyer paître ma mère et ses tentatives de me coller au catéchisme. Chaque année, elle me pétait les burnes en voulant m'inscrire et chaque année instinctivement, je devenais intraitable sur le sujet. Vu qu'elle même manquait de conviction, elle finissait toujours par céder. En même temps, faut pas déconner. A l'école, on nous dit : avant le petit jésus, les hommes comme les grecs et les égyptiens avaient tout plein de dieux. Puis du jour au lendemain, l'autre con parfait aux cheveux longs clouté sur sa croix se pointe et là, tout devient de la merde, arriéré, dépassé. Dieu est maintenant tout seul. Et en plus, il est très méchant si on n'est pas sage (ce qui est mon cas). Là-dessus, des mecs pas d'accord créent de nouvelles entreprises concurrentes (juif, musulman, sans parler des protestants, des orthodoxes et du reste) et on se retrouve avec trois dieux uniques sur terre, car donc 3 = 1 chez les timbrés religieux. Faut quand même pas me prendre pour un con fini.

Les religions, cela reste une foutaise à neuneux. Le mécanisme est toujours le même : les religieux se sont emparés d'une partie de notre cerveau en nous mettant les boules au max. En France, l'odeur du bûcher traîne encore dans l'air d'ailleurs. C'est que les gentils qui ont le droit à la bienveillance de dieu, traduisez un gentil qui respecte ce que la religion veut qu'il respecte. Par contre, les méchants, c'est à dire ceux qui ne sont pas d'accord avec les dogmes, alors eux, putain, ils vont douiller grave dans l'enfer éternel. Et puis, pendant qu'on y est, on pend les femmes sorcières et on brûle les chats noirs hérétiques... pathétique. Quand je pense qu'il y a encore 1 milliards de glands abreuvés à ces salades, je me dis qu'effectivement il est normal qu'il y ait autant de gens malheureux et qu'on soit plutôt mal barré sur un plan collectif.

Je suis OK pour saisir toute la concentration d'énergie accumulée depuis 2000 ans dans les symboles catholiques. C'est capital pour beaucoup et c'est le point essentiel qu'il faut conserver. Je ne m'en sers pas à titre perso, mais il est clair que c'est un mécanisme énorme. Mais tout ce qu'il y a autour, notamment les rationalités intellectuelles à pleurer de rire, là, encore une fois, faut pas déconner. Poubelle. Sans hésitation. Sans peur. Sans remord. Poubelle. Je ne parle même pas de la religion du moment qu'on connaît tous, qui pète les couilles à tout le monde comme les cathos l'ont fait il y a 1000 ans, qu'on ne peut plus foutre les pieds dans un aéroport sans montrer sa bite dès fois qu'on y ait planqué un liquide explosif dernier cri... Quand on prend conscience de l'immensité infinie de bienveillance dont fait preuve la puissance supérieure, ça fait quand même bien la honte de voir ces tarés de religieux saloper tout ça.

Je citerais une expérience récente, une énième qui montre bien l'énorme contradiction entre l'objectif et la réalité obtenue par les catholiques. Les arnaqueurs et arnaqués regardent juste les objectifs et oublient la réalité. Les mecs dans mon genre ne sont concentrés que sur les résultats... Chacun son monde !

Je rencontre dans un casting un jeune femme de 29 ans, atomique, un vrai avion de chasse. Elle dégage un truc frais qui m'attire rapidement. Je cause avec. Qui n'en aurait pas envie d'ailleurs... ? Seulement, j'ai des questions qui rapidement, poussent à tomber la façade sociale. J'apprends qu'elle est pute. En fait, elle a hésité jusqu'à 24 ans entre devenir nonne ou travailler dans la vie de tous les jours. Puis elle a démarré un taff de vendeuse de chaussures pendant 4 ans. Elle gagnait entre 200 et 400 dollars par mois, pour dix heures de boulot par jour, 6 jours sur 7.

Après un pétage de plomb en bonne et due forme, au moment où elle apprend que sa mère est gravement malade et que sa famille n'a pas assez d'argent pour acheter les médicaments, elle devient donc pute et astique les gringos de passage dans une maison close depuis 9 mois. Nouveau salaire ? En moyenne 2000 dollars par mois, soit deux fois le PIB par habitant du Costa Rica.

Elle m'explique alors qu'elle s'est interdit de prier comme elle le faisait avant tout le temps car son nouveau métier (pute pour avoir de l'argent pour en autre, faire vivre sa mère) fait qu'elle n'a pas le droit de contacter dieu. Je la regarde ahuri avec ma tronche d'enfariné et je lui balance un petit : ton Dieu, il est partout, chez tout le monde, ne trie pas et se manifeste dans nos coeurs à tous sans faire de différence. Tu ferais mieux d'écouter ce que ton coeur dit et de prier si tu en as envie, plutôt que d'obéir aux mecs en soutane.

C'était pas méchant. Un petit truc simple pour relancer la conversation...

Je n'avais pas du tout calculé que 9 mois de grosses tensions internes la taraudait. Son visage s'est méga crispée pendant quelques secondes. Puis, la vague a tout emporté. Elle s'est écroulée à genoux en pleurs devant moi. J'étais comme un con. Ma phrase a cristallisé l'arnaque des religieux avec leur jugement à deux balles sur ce qui est bien et mal et les dégâts qu'ils provoquent.

Surtout, les religieux qui mentent comme des arracheurs de dents se sont appuyés sur un mécanisme manipulatoire imparable. Parlons en simplement et efficacement. Il existe d'un côté les méchants humains, au milieu les cathos et autres crèmeries concurrentes qui eux, sont des versions évoluées des méchants humains, à qui de temps à autre, dieu cause dans le poste (selon les humains évolués, dieu cause jamais aux méchants humains basiques, ben oui car dieu trie les humains, c'est bien connu) et enfin de l'autre côté, dieu tout puissant le saint père, est tout seul, super méga parfait dans son coin, peinard dans l'éternité.

Cette séparation, c'est le pire venin qui détruit les humains. C'est vraiment une saloperie. Au bout de 2000 ans de ces conneries, nous faire sentir seuls, séparés les uns des autres, séparés de notre monde et de l'univers a provoqué pour le coup un enfer sur terre. La physique quantique remet toutes ces choses à l'endroit. Seulement, personne ne s'intéresse trop aux questions de la physique quantique. La vérité est que dieu (dieu ou l'espèce de machin super évolué qui laisse des traces partout sans jamais rien signer...) n'a rien à voir avec les religions. Il est partout. En nous, à l'extérieur de nous, dans la nature, dans le vide de l'énergie et de la matière noire qui représentent 95% de l'univers.

Quand je lis le désarroi qui existe dans les yeux de ceux à qui je transmets ce genre d'information, je me dis que les cathos sont des gros porcs, une immense machine à destruction de l'humain, sous couvert encore une fois de l'élever. D'ailleurs, je suis littéralement ahuri par un truc : les gens ne font pas de différences entre leur religion et dieu. Or, en voyageant, on voit bien que dieu est partout mais que les religions sont super différentes... La représentation de dieu dans l'esprit intellectuel donne lieu à tous les dérapages.

Nos 5 sens humains ne permettent de capter que 5% environ de notre monde. 95% nous échappent pleinement. Des scientifiques sont enfermés en Angleterre à 1600m sous terre, financés par la communauté européenne depuis 16 ans à la recherche du mystère quantique. Ils ont trouvé que dalle. Depuis 1974 que la présence de l'énergie noire a été découverte par déduction, nous sommes toujours au point zéro. On sait juste que cela existe. Ce truc tout petit passe à travers toutes les matières, se diffusent instantanément en moins d'une seconde aux 4 coins de la planète défiant toutes les lois physiques...

Il existe des caméras pour voir nos circuits énergétiques, que ce soit la caméra kirkian pour les humains, ou le reste des appareils qui mettent en lumière les champs énergétiques présents partout dans tout ce qui vit, y compris la terre. Nous sommes tous reliés. Tout est onde et magnétisme. Nous ne formons probablement qu'un organisme vivant universel qui prend des formes multiples. Dieu est probablement très quantique et c'est d'ailleurs pourquoi il s'est associé aux humains pour se vivre et prendre forme.

En tous les cas, vivre comme un con tout seul déconnecté des autres et de la force supérieure, ce n'est pas une attitude très "quantique". En plus, cela ouvre la porte aux arnaqueurs religieux en tout genre qui profitent du désespoir suscité par la solitude refoulée ou consciente pour tirer profit et asseoir leurs salades. Enfin, il n'y a pas de bonheur absolue sans contact permanent à la matrice quantique qui entoure tout ce qui bouge. Elle nourrit par son absolument incroyable bienveillance tout autant que ses conseils qui dépassent de plusieurs milliers de fois l'intelligence mentale.

Evidemment, pour un humain basique paumé, qui se raccroche comme un désespéré aux trois neurones qu'il a, dans un pseudo contrôle mental qui contrôle à peu près rien du tout au final, c'est un saut quantique phénoménal que d'accepter l'idée qu'un machin de degré supérieur est présent, partout, 24h sur 24 et qu'en plus, il faut lui faire confiance alors qu'il est invisible. J'invite tous ceux qui ne supportent pas l'idée de lâcher le contrôle du mental à trader les marchés financiers. Après 20 ans passées à observer 98% des gens cramer l'intégralité ou partiellement leur compte de trading, s'il y a bien une certitude qui fait surface, c'est qu'utiliser la pensée rationnelle et intelligente est le plus court moyen pour rater son trading et déduire dans la foulée qu'on rate sa vie par les mêmes mécanismes. D'ailleurs, tous les grands créateurs parlent d'inspiration, d'intuition, de flash, donc de trucs quantiques, donc de contacts à l'univers. Personne n'a jamais rien branlé de bien nouveau avec un cerveau d'humain qui réfléchit.

 

La soutane, les robes et habits bizarres ou les psychopathes... en guise de chefs !

Le truc qui m'effraie le plus depuis une douzaine d'années, c'est l'univers manichéen dans lequel nous baignons. D'un côté, on a des gens éclairés parfois avec un vrai bon gros coeur au contact profond. De nombreux parasites autour font semblants d'être comme eux. Ils passent tous leur vie à prier dans des vêtements à la con. La plupart ne nique pas. Je n'ai toujours pas saisi d'ailleurs l'intérêt de ne pas baiser une gonzesse pour être quelqu'un de bien. Moi, perso, le plus court chemin pour rendre une petite visite de routine à dieu, cela reste de m'accoupler avec une femme qui m'aime et que j'aime, qui me désire et que je désire. Bon bref, d'un côté, on a un modèle qui fait fuir. Qui a envie de se branler la vie toute la journée dans un monastère à la con concentré sur la méditation ? Rouler à 240km/h, voyager, baiser, bouffer, picoler, enfin, je sais pas, mais cela fait du bien de s'amuser de manière superficielle de temps à autre. Genre là, il faut en chier à mort pour espérer être dans le droit chemin, sélectionné par dieu. Evidemment, cet idéal ne fait pas recette à part auprès de quelques masos qui aiment les robes unicolores et qui ont souvent de gros soucis avec les femmes, trouvant plus intelligents d'aller toucher les bouloches de jeunes mâles... ou d'inviter les mêmes jeunes mâles à se faire sauter la tronche sous forme de bombe.

Et de l'autre, un poignée de quelques milliers d'individus (une quinzaine de multinationales contrôlent la majorité des produits de grande consommation de l'occident, une dizaine pour l'énergie, une dizaine pour les transports, les 4 premières banques américaines sont plus grosses que les 7900 autres réunies, deux multinationales françaises dominent le traitement de l'eau à l'échelle mondiale... etc, au final, quelques centaines de multinationales font le monde, pas plus !) oeuvrent chaque jour au profit des grandes oligarchies mondiales pour manipuler 7 milliards d'humains, les faire bosser, les exploiter et les rendre malheureux. Ce sont des psychopathes en puissance. De temps à autre, erreur statistique oblige, un mec bien sort du lot, un créateur hors normes ou un Ford en puissance intéressé par l'intérêt général. Mais les 99 suivants sont de véritables ordures.

Au milieu ? Personne. Le désert total.

Depuis ma jeunesse, à cause de ma mère qui passait sa vie à me faire chier avec ses conneries auxquelles elles n'adhérait même pas, qu'elle était en plus incapable d'incarner et d'appliquer, ne serait ce que 5% de tout ce qu'elle affirmait, j'ai dédié ma concentration à réunir les deux pôles. D'un côté, j'ai exploré le monde de l'invisible. Dès l'âge de 22 ans, j'ai bouffé des centaines de livres, posé des questions, fais des expériences multiples liées aux émotions humaines, rencontré des spécialistes qui ont bizarrement accepté de répondre. Et de l'autre en parallèle et surtout en fait, en collaboration, j'ai exploré le monde économique. Parce que l'un ne peut pas aller sans l'autre. On ne peut pas agir dans la vie sans l'un ou sans l'autre.

On ne peut pas que faire prier ou que agir. Il me paraît ultra nécessaire de réunir les deux.

Les marchés financiers m'ont permis de valider de manière incroyable tous les concepts. Bien sûr, j'ai fait pleins de conneries. Il y a eu des ratés. Je suis parti dans le fossé plus d'une fois (qui nique royal dés le premier soir, hein ? On s'améliore avec la quantité de tirages non ?... on a besoin d'apprendre. Cela me fait marrer tous les branleurs qui me font la liste de mes conneries qui traînent sur internet, planqués derrière leur pseudo de lopettes, en m'insultant à l'aide de boîte email éclair one shot. D'abord, ils ont pas encore saisi que leur jugement de mecs parfaits dés le premier soir qu'en fait, ils ont jamais sorti leur popaul de peur de faire une erreur, me fait sourire. Et ensuite, j'ai un amour immodéré pour les hommes qui expérimentent par eux mêmes en se ratant, en se corrigeant, en s'améliorant humblement et un profond mépris pour les quiches qui savent tout sur tout sans jamais avoir eu les burnes de faire quoique ce soit, ce qui est soi dit en passant une grande spécialité française...).

J'ai aussi beaucoup étudié toutes les réussites dans tous les domaines, que ce soit l'économie, le sport, les arts. Je suis toujours au final tombé sur les mêmes règles à savoir que la voie du milieu est le challenge le plus passionnant. Expérimenter et créer dans la réalité ce à quoi nous croyons, avec amour, ce sont les buts de l'existence. La soutane, ça reste quand même super chiant. Et psychopathe, c'est franchement peu séduisant même si on nique et on a plein de pognon à dépenser. L'un des aboutissements les plus ultimes, j'en ai vu encore un aujourd'hui à la TV : il s'agit de Roger Federer, un joueur de tennis, définitivement gracieux et inspiré qui allie l'action au monde de l'invisible dans une sorte de perfection qui représente la base de ce que je crois, nous devrions tendre vers.

 

Le système n'a pas changé, seule la condition des esclaves s'est améliorée !

Actuellement, le monde tourne de manière assez destructrice. D'un côté, nous avons quelques centaines d'oligarchies économiques qui tiennent l'économie mondiale, le pouvoir d'édicter les normes sociales à partir desquelles 7 milliards d'humains vont s'efforcer d'évoluer (le truc le plus marrant quand on voyage, c'est de voir qu'une norme sociale peut changer du tout au tout en parcourant à peine 50km, d'un pays à un autre ou d'une région à une autre. C'est là qu'on prend pleinement conscience de l'extraordinaire pouvoir de manipulation de la norme sociale) et de l'autre, nous avons 2 ou 3 milliards d'humains à l'état de larve moderne (des esclaves plus ou moins bien traités selon les régions et le niveau de développement du pays) qui sont embrigadés dans un système 35 / 45h de boulot par semaine, voire plus contre un salaire, avec un modèle de confort matériel en guise de carotte.

La semaine, les esclaves travaillent tandis que le week end, certains tentent de décompresser tandis que les autres s'occupent des enfants. Les femmes se réveillent vers la quarantaine, s'apercevant que leur physique fout le camp au moment où elles ont enfin un peu de liberté. Tout ce petit bazar tourne selon la loi de la rareté et du manque, tandis que les pouvoirs s'affirment à l'aide de la peur qui est matraquée à ne plus en finir. La machine est rôdée. Il y a bien de temps à autre des grosses grèves ou des petites révolutions dans des pays mineurs, mais tout reste sous contrôle. La Russie et la Tunisie ont montré que le vent de liberté dépasse rarement les 5 ans. Après les oligarchies reprennent toujours le contrôle.

Dans de plus en plus de pays, les esclaves ont aussi le droit comme promesse de finir leur vie à la retraite. Mais comme les oligarchies les empoisonnent à petit feu à l'aide d'une industrie agroalimentaire de pointe, la retraite est rapidement à part au Japon pour les anciennes générations, un va et vient à l'hôpital entre deux émissions de TV car l'énergie n'est plus là. En fait, les esclaves ont démissionné de leur vie depuis si longtemps qu'ils attendent gentiment la mort en se faisant royalement chier et en s'occupant à se déclencher des maladies ou à se droguer (alcool pour les hommes, médocs pour les femmes, bouffe pour les deux camps).

J'ai rapidement compris dès l'âge de 14 ans que je ne foutrais jamais les pieds dans ce système de tarés. J'ai avalé des centaines de livres d'économie et d'entreprises. Dès 19 ans, j'ai pris des initiatives et j'ai commencé à naviguer tout seul dans mon coin. Ensuite, j'ai évolué lentement. J'ai mis du temps à saisir la folie de notre monde car j'étais un acteur du bon côté de la barrière, un prédateur économique de petite envergure, mais en même temps, suffisamment efficace pour expérimenter le mot abondance.

Justement parlons en de l'abondance. Les prédateurs sont parvenus à imposer un système de manque et de rareté comme la seule alternative possible. C'est tout simplement dingue. Un pays comme la France prélève 1200 milliards tout compris selon la Cour des Comptes qui a calculé tous les machins cachés et vicelards, pour un PIB de 1800 milliards. Nous assistons à un immense gaspillage à travers des détournements permanents d'argent publique. Toute la valeur ajoutée des français est collectée de force par les fonctionnaires qui ensuite la redistribue non pas aux pauvres, mais à l'aide de contrats, dans des mains amis ultra concentrées, laissant quelques miettes à la masse qui ne comprend rien. Avec 1200 milliards, on pourrait en réalité verser à chaque français une somme de 1000 euros par mois et faire fonctionner un état de taille normale sans vocation socialo communiste. Si donner 1000 euros par mois à vie à tous les français ne ressemble pas à l'abondance, je veux bien qu'on me la coupe. Ceux qui désireraient plus, travailleraient. Les autres pourraient glander. Voilà à quoi pourrait ressembler sans aucun problème comptable la France dès demain. Au lieu de cela, la rareté et le manque, la peur et la domination sont partout.

Attention, comme le souligne Pierre Yves, un lecteur de ces pages, donner 1000 euros par mois transformera une bonne part du pays en glandeur, la Réunion étant un bon exemple de ce que peut provoquer l'assistanat. Clairement, je crois que pour changer un système, on ajuste pas seulement la variable financière. C'est tout le reste qui va de pair, l'éducation, les valeurs collectives, le rapport au travail et à la créativité, les visions du monde et surtout, l'instauration d'un sentiment d'abondance. L'un ne peut aller sans l'autre.

La bouffe, les ressources, tout est contrôlé, rationné à l'aide de lois amies achetées auprès des fonctionnaires de tous les pays y compris la France, de manière à enrichir une toute petite minorité. Dans tous les pays, ce modèle s'est imposé, que ce soit pour les mafias avec les produis illégaux ou les oligarchies légales. Il faut croire que c'est dans la nature animale de l'homme et que nous sommes encore à un stade zéro sur un plan collectif. Les masses se sentent bien quand elles sont asservies.

Il est bien sûr tout à fait possible de fonctionner autrement, que tout le monde puisse vivre dans l'abondance de nourritures, de logements et de la couverture des besoins vitaux, mais le bourrage de crâne est tellement intense que plus personne ne peut juste imaginer qu'un autre monde puisse fonctionner. Je me souviens de l'idée de Bernard Moitessier qui avait foiré. Il avait proposé que tous les maires de France de planter des arbres fruitiers à la place des plantes ornementales pour que les gens puissent avoir des fruits gratuits. Personne sauf un obscur petit maire a répondu à son appel... C'est la force des riches que d'avoir miser sur la stupidité humaine et de l'avoir entretenue. C'est l'idiotie des pauvres (j'ai été pauvre, mais finalement pas idiot, car je n'ai jamais avalé ces salades et j'ai arrêté d'être pauvre) que de se persuader que tout est impossible.

Je sais aujourd'hui que les larves qui remplacent les humains acceptent tout ceci, car leur cerveau est lavé des l'enfance à travers l'éducation scolaire (l'objectif de l'école est de rendre docile l'esprit des masses, dixit un général américain récemment), la manipulation permanente de cerveau des parents qui exécutent comme des bourreaux au lieu d'élever leurs enfants et les médias qui assurent la promotion du modèle, the modèle...

Seulement, les larves ne sont pas heureuses. Arrivées à 70 ans, la liste de leur regret est si longue qu'il suffit de leur poser la question pour mesurer l'étendue des dégâts. Je n'aurais jamais du faire ma vie avec cette femme, jamais du dépenser autant de temps dans ce boulot à la con, j'aurais du faire ceci ou cela... bref, face à la mort, la larve fait sauter petit à petit son déni et se retrouve avec effroi devant ce qui s'appelle un gros ratage géant...

Vous vous doutez bien que je m'inscris en contre de ce modèle.

 

De l'amour bordel !

Tout d'abord, l'amour de l'univers, des animaux, plantes, dieu, humains, objets, bref de tout ce qui bouge et plus particulièrement du vivant, est la top des priorités. Si on regarde bien le modèle des esclaves et qu'on s'amuse à quantifier le temps qu'ils dépensent à l'amour, on se dit qu'il y a un gros gros souci. Les humains ne prennent pas le temps d'aimer. Ils ont autre chose à faire. Ils crèvent de solitude et de besoins affectifs non couverts, mais ils ont autre chose de mieux à faire que d'aimer... Ils s'adonnent à la peur comme des héroïne mens avec une ferveur sans faille. L'amour, ils en rêvent tous, mais finalement, ce n'est pas la priorité. C'est considéré comme un luxe souvent inaccessible.

Leur grande excuse est qu'ils doivent survivre... en travaillant en tant qu'esclaves qui ne réfléchissent pas. En fait, s'ils lisaient un peu et prenaient le temps de comprendre comment le système fonctionne, rapidement, ils abandonneraient le statut d'esclaves et deviendraient indépendants à l'international... Mais, c'est super dangereux cette évolution. Qui plus est, eux ne peuvent pas. Juste les autres...

Autour de moi, c'est toujours la même rengaine : si j'avais ceci ou cela, après je m'arrêterais et je m'occuperais de ma femme, de mes enfants ou de me trouver une superbe femme que j'aimerais ou bla bla bla. D'abord avoir et ensuite être et aimer. L'ordre est faux. En plus, problème, personne n'a jamais tout ce qu'il veut (c'est la beauté du système imaginé par les oligarchies dominantes). Donc, du coup, tout le monde passe sa vie à courir derrière une chimère. Et au final, il n'y a pas d'amour.

Il faut compenser avec des objets, des concepts, des drogues diverses. Les rapports humains sont dans l'utilitaire.

Il y a pourtant une certitude. Toutes ces conneries disparaissent dès lors qu'on aime.

Evidemment, c'est toujours la faute à pas de chances si on rencontre pas le bon partenaire qui permet de vivre l'amour...

J'ai réfléchi récemment sur ce sujet, car si on regarde en face la situation, nous ne sommes pas aidés par la nature. Il y a besoin d'apprentissage en matière de relations amoureuses ou amicales pour prendre connaissance des émotions et sentiments d'enfance qui nous drive à notre insu. Choisir en toute liberté son partenaire amoureux (je ne parle pas des cons qui ont l'impression de choisir mais des rares qui sont affranchis de papa / maman) est un privilège qui se gagne.

Le problème, c'est que notre vie d'humain est trop courte. On n'a pas le temps d'enchaîner les échecs et de découvrir au fur et à mesure ce qui compte vraiment, ce qu'on désire le plus. Imaginons qu'on fasse 3 relations amoureuses par an de 4 mois chacune. Pendant 15 ans. Ca donne 45 occurrences. 45 échecs à réfléchir. On arriverait à 35 ans avec un bon bagage. Seulement, cela ne colle pas avec la reproduction : les femmes doivent pondre à 28 / 30 ans la première fois. Du coup, elle chasse le spermato avec seulement quelques histoires amoureuses au compteur. C'est voué à l'échec cette affaire là... Le libre arbitre ne peut pas s'exprimer. Techniquement, c'est bloqué. Nous sommes clairement condamnés à nous aventurer dans les relations amoureuses avec les problématiques de l'enfance non résolues, donc à foirer notre vie amoureuse.

Je ne dis pas que le modèle d'un nombre limité de relations amoureuses ne permet pas d'apprendre. J'ai enchaîné deux relations de 6 ans que j'ai creusé jusqu'à ma faille d'enfance. Mais après que l'univers m'est fait rencontrer l'exacte bonne personne à chaque fois pour avancer, il faut couper et lancer une nouvelle aventure avec une autre personne. Rester coute que coute avec le même partenaire est une hérésie. Espérer en plus de l'amour dans cette configuration, est tout simplement fou !

Combien d'entre nous pouvons observer les sketchs formés par les vieux couples qui se déchirent avec une violence sous toutes ces formes, dans la plus grande acceptation, comme si cela était normale et qu'aucune autre alternative n'était possible ?

 

Expérimenter et créer dans la réalité ce à quoi nous tenons vraiment

Les humains sont faits pour créer et expérimenter. Les pouvoirs de création des esprits sont immenses. La collaboration avec le monde de l'invisible donne lieu à des résultats qui dépassent les normes sociales... J'ai fait des milliers d'expériences dans ce domaine. Ce qui marche pour moi, marche pour tous les humains qui se sont intéressés au mécanisme. Le monde est comme un hologramme. Nous attirons tout selon notre état émotionnel, personnes, aventures, scènes, évènements... tout.

Le libre arbitre démarre non pas dans la pauvre et pathétique volonté humaine du mental (je veux me balader dans la rue en montrant à tout le monde que je peux me payer un Iphone 4 et donc que j'assure), mais au niveau de l'aptitude à prendre le contrôle de son niveau de vibration émotionnelle, ce qui ouvre alors le contrôle de ce qui rentre dans la sphère de nos vies. La physique quantique et les neurosciences ont apporté des énormes éclairages dans ce domaine. La question n'est pas de savoir si cela existe ou non, mais juste de savoir comment l'intégrer dans nos vies personnelles et de l'utiliser.

Expérimenter... tous les humains que je rencontre sont tout simplement mort de trouille à l'idée de bouger le plus petit doigt en dehors des lignes invisibles de la norme sociale. Je suis contacté presque chaque jour ou au moins une fois par semaine par des gens qui veulent changer de vie... et qui ne concrétisent jamais rien au final. C'est une immense et grosse branlette de gros peureux...

Expérimenter veut dire, prendre des risques, échouer, synthétiser, s'améliorer, réussir, vivre, recommencer, tenter, décider en univers incertain où le mental n'est d'aucun secours.... Les branleurs par millions s'arrêtent au stade de la pensée et se satisfont d'une vie fictive sans expérience. Aucune implication émotionnelle dans le processus, aucune évolution par retour d'expériences, rien que concepts vides de sens au milieu de jeux vidéos, de télé passive et d'heures infinies de travail inutile.

Evidemment après 30 ou 40 ans de ce brassage de vent, l'esclave se sent amer, a l'impression qu'on lui a volé sa vie, car bien sûr, il n'est responsable de rien. C'est la faute du système, des autres, des chinois... Que nenni de sa paresse, de sa lâcheté vis à vis de lui et de tous les renoncements qu'il fait.

Je vais donner un exemple qui m'a toujours fait halluciné. Une majorité de jeunes débutent leur travail dans le secteur où ils ont trouvé un stage au cours de leurs études. Ce qui est totalement fou, c'est que les étudiants ne choisissent pratiquement jamais par goût l'entreprise dans laquelle ils vont faire leur stage. Ils se retrouvent en majorité à 30 ans dans un secteur d'activité qui ne leur conviennent pas. Pan une décennie foutue en l'air, mais personne n'est responsable de rien...

Je ne parle même pas de créer et d'oeuvrer dans les activités pour lesquelles ils ont un feeling, de se battre pour ce à quoi ils croient, d'exprimer ce qu'ils ressentent et de modeler le monde à leur image. Tout ceci porte un nom dans le tête vide de l'esclave : "oh moi, je ne me prends pas la tête. Pourquoi veux tu que je réfléchisse là-dessus. J'ai autre chose à faire de plus sympa." Eh oui, l'esclave aime se battre que pour une chose et une seule : organiser méthodiquement sa vie selon le modèle dominant de manière à être certain à 100% de la rater.

La larve n'a jamais l'impression qu'elle est malheureuse, car elle respecte la norme sociale qui lui renvoie en permanence l'image rassurante qu'elle fait les choses correctement. Seulement à 70 ans, la norme sociale ne dit plus rien à part "on t'a bien baisé la gueule pauvre con. Vieillis sans faire de vagues, en silence et crache ton pognon dans le secteur médical"... Il ne reste plus à la larve qu'à regarder le fond de la bouteille de vin qui lui procure une énième fois un moyen de fuir.

Rien n'est plus renversant et étonnant que de se consacrer chaque jour à ses passions, les monétiser auprès d'autres passionnés (je rejoins avec mon frère sur notre amour de l'idée de Weber qui consiste à créer un monde où chaque humain travaillerait en fonction de ses goûts et névroses, les paranoïaques à la sécurité par exemple), et surtout de créer à l'aide du fabuleux outil qui trônent en nous... dieu ! Très franchement, c'est bien plus marrant de jouer avec dieu et notre super pouvoir de création qui modifie notre réalité en fonction de nos besoins qu'avec un jeu vidéo. Quand je dis cette phrase, généralement, c'est la grosse solitude autour de moi... pas toujours. Regardez ce superbe PDF plus scientifique que mon approche littéraire, dont le nom résume tout : l'univers est un hologramme !

http://www.charlesdereeper.com/vivreaucostarica/images/UNIVERS-EST-UN-HOLOGRAMME.pdf

Je vous signale également que j'ai écrit 4 années plus tard que ce que vous lisez sur cette page un article sur l'idée que l'homme n'est peut être pas libre et que zigzaguer entre le destin et ses aspirations personnelles n'est pas une chose aisée, loin s'en faut ! Je vous expose 22 ans de mon mode de vie basée sur une approche totalement en dehors de la norme sociale dominante. On n'est jamais autant libre que dans l'échec (non opérationnel !)

http://www.charlesdereeper.com/vivreenthailande/ch20.html

 

Du cul au menu !

Sur ce, je ne pourrais terminer une page pareil sans parler un peu de cul non ? Allez détendons nous les neurones ! On est copain non ? On vient de parler de dieu. Je ne vois pas trop ce qu'on peut faire de plus intime. Si vous êtes arrivés jusqu'au bout, c'est que franchement, on est copain.

Bon alors, j'ai accroché une latina depuis un mois. Là, dieu quantique, je te dis merci. OK. Son visage est tout ce qu'il y a de plus normal. En plus, je confesse que 5kg de moins ne lui ferait pas de mal, loin de là. Elle a l'arrière train qui mériterait un petit rabotage. En revanche, dans la colonne actif, y a du lourd. Du très lourd.

Premier point, elle est munie de ce qu'on appelle en anglais HUGE NATURAL TITS. Il faut deux mains, je ne mens pas, il me faut mes deux mains, pour attraper une seule de ses mamelles géantes. C'est un véritable porte avion son décolleté. Il est armé jusqu'au dent, avec deux missiles qui pointent méchant. Du jamais vu dans ma vie d'assoiffé. Mais ce n'est pas tout. Non, non.

C'est son esprit qui est unique. Elle est maternelle, sincère, honnête, parvient à penser au delà de 24h (un exploit au CR) et... eh ben, ne tournons pas autour du pot plus longtemps, elle pense à la bite tout le temps. Elle est sur terre pour se faire enfiler. Un français qui n'a rencontré que des françaises n'est pas équipé mentalement pour imaginer ce que c'est. J'ai déjà croisé le chemin de quelques nymphos en Europe, mais c'était médical, donc malsain. Alors que là, c'est juste une envie permanente de sexe, du matin au soir. Un tempérament de feu. Du 100% bio son truc à elle. Son esprit mélange des beaux sentiments assez purs avec un volcan alimenté par quatre centrales nucléaires dernier cri. Vous imaginez. Quatre. Il fait rapidement chaud avec ce genre de puissance.

Evidemment, quand vous me mettez un cocktail pareil dans les mains, je me mets à créer moi... l'inspiration me dévore... j'innove. Je développe. On a très rapidement passé en revue les bases, puis une fois la confiance établie, je lui ai fait une formation accélérée. Ben oui, dans le coin, les mecs, c'est du tirage à la va vite sans aucun partage. Du coup, la compétition est proche de zéro pour un mec. Super facile de passer pour le mec exceptionnel. Le souci de l'avantage précédent, c'est que les femmes ne sont pas "formées". En clair, ce ne sont pas des grandes techniciennes et elles sont pas rôdées dès qu'on sort des sentiers battus. Et vu que les sentiers normaux, cela me fatigue... faut donc upgrader la forme !

Maintenant, avec leur tempérament, je dirais même leur énervement naturel sur le sujet, la formation est super rapidement assimilée. Ma latina, en tant que professeur, j'ai délivré un sobre 20/20 à l'issue du programme. J'ai souligné dans le rapport son exceptionnelle motivation et son investissement et son ouverture incroyable à l'apprentissage...

Il y a zéro limite avec ce genre d'usine à jouir, un vrai bonbon exotique. Et il n'y a pas besoin comme avec les casses burnes de françaises de discutailler 107 ans, d'établir des théories et de négocier vaguement un mariage et un enfant avant de pouvoir y plonger un début de doigt... parce que c'est bien connu, une femme a besoin de respect pour se faire enfiler. Son sexe à l'état naturel est fait pour végéter... Bref, ma latina, elle s'en tape complet des concepts. Elle veut juste de l'amour et du sexe, là maintenant. Et il y a intérêt à recharger vite fait. C'est du multi coups. Bonjour la provision de zinc qu'il faut faire pour tenir le rythme...

Comme elle le dit, avec son "frances" (moi), elle devient (l'euphémisme d'une femme) un poco sexo maniatica... bon perso, je ne m'y connais pas trop en maniaque sexuelle, mais de loin, comme cela à la louche, à part qu'on est revenu 34.000 ans en arrière dans une caverne (mon lit king size de 4m²), maniaque, définitivement, elle l'est à fond. Et c'est délicieux ! Moi qui aime par dessus tout la qualité de contact pour m'envoyer en l'air, la tension du lien, l'intensité et la profondeur de l'échange, j'ai tiré le bon numéro au loto avec elle. Après mon ex femme (française), je ne pouvais espérer miser une deuxième fois sur un numéro gagnant. Et pourtant, seulement deux jours après la décision du divorce, la latina en feu apparaissait dans ma vie.

La question est donc : y-a-t il un hasard dans cette rencontre ou l'ais je d'abord créer par l'intermédiaire d'un effort de 6 semaines à partir d'une liste qui comportait 18 autres points il y a exactement 5 mois, exercice matin et soir plus pendant le sport ? Hein ?

Vous savez déjà la réponse... J'ai joué avec les vrais règles du jeu, les cachées en dehors des religieux bidons et des normes morales et sociales vérolées jusqu'au centre même.

Il suffit de passer commande et l'univers vous livrera ! Comme disent certains, c'est une vraie photocopieuse quand on sait dialoguer avec. Même les trucs compliqués et les contraires improbables, Fedex ne peut s'aligner en terme de qualité de livraison...

Tout est dans l'art de poser les requêtes, alliant l'état d'être (donc, 100% contraire aux je veux, aidez moi et les traditionnelles requêtes des ignorants qui n'obtiennent jamais rien) avec le ressenti adéquat (faut incarner, loin des concepts et de la vie fantasmée des larves). Il existe une large littérature sur le sujet en provenance de tous les pays du monde, chaque peuple finissant par parvenir aux mêmes conclusions. Je vous laisse le soin de charger dans votre mental le mode d'emploi quantique de la vie auprès d'autres que moi.

La vie est belle.

Et si vous créiez votre vie au lieu de subir le rouleau compresseur du modèle occidental ? Et si vous viviez vos rêves plutôt que de vous contenter de ceux des autres ?

La plupart des gens estiment satisfaisante leur vie mais n'estime pas vivre une vie de rêve ou n'ont pas la sensation de se réaliser pleinement. C'est une logique que je n'ai heureusement jamais toléré. Si la vie n'est pas de rêve, elle est au mieux acceptable, mais loin d'être satisfaisante... Faut donc se bouger son cul, plutôt que de fumer un pétard en se la jouant cool...

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