Chapitre 17: Femmes mode d'emploi la suite

AH IL VOUS A PLU MON CHAPITRE 13. VOICI UNE NOUVELLE COUCHE

Vu la teneur des emails reçus, Ch13.html je ne doute pas que vous salivez à l'idée de lire ma deuxième couche.

Quelles sont les news ?

Alors depuis deux trimestres, avec le Tonio, nous sommes devenus des joueurs professionnels. Ce qui veut dire qu'on ne commet presque plus d'erreur et qu'on gère à peu près l'ensemble des situations auxquelles nous sommes confrontés, avec succès.

La fraîcheur, faut oublier... Je suis devenu un sale con. J'assume. J'ai beau eu lutter, la vie a eu raison de mes bons sentiments. Désormais, je joue, je mens, j'expérimente, je manipule, je prends et j'apprends. En face, j'ai affaire aussi à des personnes troubles. Cela donne un assemblage court termiste, bien éloigné de mes aspirations disparues.

Le mode d'emploi de cette page, s'adresse aux hommes en priorité et n'a pas d'ambition à être correct socialement. Il marche et donne des résultats. Il est pertinent et efficace. C'est ce qui compte. Mes descriptions ne sont pas cruelles ou dédaigneuses. C'est la vie qui est comme cela et les gens qui peuplent cette planète qui exigent cette approche. Il existe d'autres approches peut être même meilleures, mais je doute qu'elles soient roses... Faut pas confondre une recherche de résultat et de performance avec une adhésion et une reconnaissance des autres. Le consensus social n'a jamais été le garant des meilleurs résultats.

Le paradoxe exprimé autrement, c'est que les femmes donneront TOUJOURS la priorité aux hommes beaux et froids qui ne donnent rien plutôt qu'à des hommes normaux tout plein de bons sentiments, capables de leur apporter beaucoup. Sur les dance floors, on les voit les beaux gosses. Ce sont des vrais aspirateurs. Il règne ! C'est mécanique. Et ça frétille en face. Peu importe les faibles probabilités et les belles opportunités ratées à côté auprès des hommes normaux. Quand aux hommes, le physique des femmes est encore plus prioritaire probablement.

De même, les femmes se sentiront toujours mieux avec des techniciens performants au lit plutôt qu'avec encore une fois, des hommes tout plein de bons sentiments mais peu performants.Les relations homme femme sont d'une cruauté absolue. D'ailleurs, c'est par leur intermédiaire qu'on se fait le plus de mal dans une vie d'humain. Les problèmes de coeur concerne la majorité d'entre nous. Quitte à survivre dans cet univers si important, autant être outillé et du bon côté de la barrière. Et pour accumuler suffisamment d'expérience, il faut passer par la case sale con. J'y suis en plein dedans.

Entrons dans le vif du sujet.

 

LE POIDS DU MARKETING

J'ai développé un marketing adapté au terrain.

En fait, j'ai mis deux photos sur mon tèl. La première est celle d'un butterfly, symbole des hommes qui niquent partout en thaïlande. Butterfly est un mot ultra répandu dans le pays. Regardez le, ce bel petit homme qui vient de finir de vidanger son tuyau dans un vagin accueillant. Il redécolle pour de nouvelles aventures, avec plein de dopamine dans le sang...

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C'est beau hein ? Je ne sais pas si cela vous parle l'image, mais bon, sachez que la femme thaïe, elle, ça lui parle à mort. Seulement, qui dit marketing, dit différenciation. On vend pas un sac Lancel à 700 euros de la même manière qu'un sac chinois qui coûte 5 euros, hein ?... Vous me suivez. Quitte à être un objet, autant être un Lancel à 700 euros, non ?

Donc, moi, dès le début, j'attaque dans le dur. Je commence par expliquer que mes copains et moi, (on est une bande de 4) nous ne sommes pas des butterfly, genre touristes de passage qui viennent tirer 3 coups dans une chambre d'hôtel de 20m² et puis s'en va. Non non. Nous sommes des butterfly d'un autre genre. En image ci dessous !

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Nous sommes un escadron de french helicopter. Cela veut dire qu'on se déplace plus vite que les butterfly. On est armé jusqu'au dent. Et surtout, on joue lourd... On rigole pas. Pas de barratin. On connaît notre métier.

Tout de suite, cela permet de fixer le débat sur un autre plan...

Croyez moi, le concept de french helicopter, il fait son effet.

Ensuite, j'ai cartographié nos rencontres et réduit le chaos à des patterns. On se fait encore surprendre mais souvent un simple débriefing nous permet de gérer au mieux.

 

LA TECHNIQUE EN APPUI AERIEN EN CAS D'OPERATION MILITAIRE

Alors, comment devenir un killer au lit en étant un mec normal ?

Je vais faire abstraction de mon scanning intuitif (lire le ch13). Je le débranche de plus en plus souvent sinon, c'est trop facile. Je prends des risques en aveugle en essayant des nouvelles rencontres sans savoir par le biais de l'énergie si ca colle ou non. Du coup, il y a de la casse. Mais bon, cela me permet d'enrichir ma base de données d'expérience. Sinon, je tourne en rond.

Je vous passe la phase d'approche aussi. Je ne suis pas un séducteur. Il n'y a rien de plus chiant que la drague, du moins en ce qui me concerne. Heureusement, les thaïes sont d'une approche extrêmement facile. Au bout d'un moment, une fois qu'on a pigé, on ne se pose plus de questions en tant que mec. On rentre direct à l'abordage. Il y a tellement de femmes seules et sexy à Bangkok. Rien à voir avec les pays vieux en Europe. L'âge moyen d'une population, cela compte énormément. Et la génétique aussi...

Bon donc, passons tous ces détails chiants et allons à l'essentiel. La femelle est dans votre lit. Elle est déshabillée. Elle est lavée, elle sent bon. Bref, elle vous regarde avec des yeux qui disent : viens me baiser !

Ca y est ? Vous visualez le truc ?

Là, à cet instant, c'est crucial. C'est l'étape qui va faire que vous allez être bon ou mauvais. Faut faire le profil de la femelle dans la bonne case avec la bonne stratégie de jeu. Sinon, cela va merder ou être médiocre. Etre médiocre, c'est chiant. Adieu privilèges et faveurs !

Le truc, c'est que la plupart des femelles n'ont absolument aucune idée de la case à laquelle elles appartiennent.

Et l'ennui majeure, c'est qu'on dispose que de seulement quelques minutes pour piger.

Autant dire que c'est crucial, vital. Heureusement, la concurrence est faible à ce niveau au niveau des hommes (les mecs débarquent la bite dans la main et la plupart ne se pose aucune question existentielle. Ils queutent direct). Donc, avec la bonne règle du jeu, on passe devant tous les autres petits copains, enfin, tous ceux qui ont un physique normal, car les beaux gosses, euh, ils ne sont pas concernés. Même s'ils sont mauvais, ils sont beaux. Et ca, c'est prioritaire dans les classements... L'algorithme féminin les fait ranker en white list !

 

5 CASES POUR 5 NIVEAUX DE CLASSE

Alors abordons cette histoire de case.

La première est composée de femmes qui ne jouissent jamais. En clito, en vaginal, en anal, en ce que vous voulez, le corps ne réagit pas pour x raisons. Zéro contact possible. Si vous vous retrouvez en opération militaire sur un terrain de ce genre, faut décharger si vous y arrivez et foutre le camp.

La deuxième, ce sont les clitoridiennes. D'un chiant. Une horreur.

La troisième, ce sont les clitoridiennes qui peuvent déboucher sur un peu de vaginal (tout n'est pas perdu à ce stade). En principe, c'est un orgasme vaginal one shot et fini !

La quatrième, ce sont les vaginales multi coups, mais pas plus de 5. Bon là, on arrive dans la crème.

Et la cinquième, ultra méconnu de la gente masculine, ce sont les vaginales de compétition, le genre d'engins de guerre qui monte à 8, 10, voire 15 orgasmes par heure de jeu. Heureusement que peu connaissent l'existence de ce profil, sinon, cela déboucherait sur des guerres civiles pour obtenir le contrôle de ce type de femelles. Quand on y goutte, c'est la dépendance immédiate aussi rapide qu'avec l'héroïne.

5 cases. Perso, je les appelle Classe 1, 2, 3, 4 et 5 !

Il est évident qu'on ne baise pas une classe 5 comme une classe 1, 2, 3 ou 4.

 

VOUS AVEZ AUTOUR DE 5 MINUTES POUR PIGER

Donc la question numéro 1 à résoudre dans les premières minutes, c'est le diagnostique. Il faut envoyer son doigt en zone de combat et prendre la température en étant bien concentré sur ce qui se passe au niveau des réactions. Je vous le rappele une nouvelle fois, aucune femme ne vous dira jamais : alors écoutes, chérie, moi je suis comme ci, comme ci et comme ça et au fait, je n'aime pas ce truc là... Non non, la vérité, c'est que nous seuls comme des cons, face à un machin qui peut faire tout et son contraire, dont souvent la propriétaire n'a jamais pris le temps d'évaluer toutes les options et possibilités.

Bienvenue dans ce monde hautement incertain...

Entrons dans le vif !

Votre doigt arrive sur le clito. Au bout de quelques dizaines de secondes, on a la première info. Une classe 1, elle va se dégager ou commencer à faire n'importe quoi en pipotant (en fait, comme elle sait qu'elle ne peut pas jouir, elle a une réaction typique de fuite ou de gêne ou d'embarras...). La classe 2, la clitoridienne va soupirer d'aise et demande à voir comment vous la touchez, en espérant que vous fassiez cela bien. La classe 3 aussi. La classe 4 verra cela juste pour se chauffer quoiqu'un petit orgasme lui conviendrait bien aussi. Quand à la classe 5, elle va adopter le même comportement que la classe 1, mais pour d'autres raisons. Son clito l'emmerde. Ce n'est pas sa came.

Ensuite, il faut filer sur le point G à l'intérieur du vagin pour voir à nouveau quels sont les réactions du corps. Le toucher de balle, ça, je ne peux pas vous l'enseigner avec des mots. Un seul truc pour ceux qui ignorent, on ne rentre pas comme un abruti son doigt dans le vagin en simulant brutalement ou rapidement, comme dans les films de boule, un acte sexuel avec pénis. Je n'ai jamais vu une femme aimer cela. En plus, les ongles les écorchent et elles ont peur.

La classe 1 en cas de contact avec le vagin continue de roupiller. Elle le sait pas, mais soit la porte l'attend direct avec moi, soit je lui réserve une petite surprise...

La classe 2 prend le doigt et vous le remet sur son clito. Le vagin, généralement, il est mort et sans sensation pour elle. Donc, elle ne vous laissera pas faire.

A ce stade de réactions, la classe 2 comme la classe 1 sont verrouillées au niveau du diagnostique. La classe 3 fait souvent comme la classe 2. La classe 4 se laisse volontiers faire, d'autant plus qu'un bon toucher de balle débouche généralement sur un orgasme vaginal. Comme la plupart des hommes ne savent pas toucher les femmes, la surprise est souvent au RDV pour elles. Magie du point G. Enfin la classe 5 vous regarde droit dans les yeux et vous dit que vous êtes bien gentil, mais qu'elle a envie de bites. Les jeux de main, c'est pour les autres.

A ce stade, la classe 3 et 4 pose encore quelques incertitudes. Mais les autres sont verrouillées.

Et là, tout l'art démarre en s'adaptant.

En tant que mec, l'enjeu consiste à pouvoir s'amuser tout en optimisant son style de jeu aux caractéristiques de la partenaire.

Ah oui, avant que j'oublies, je vous donne un dernier truc pour la phase du diagnostique. Imaginons que le triturage avec vos doigts ne soit pas votre point fort.

Ce que vous pouvez faire, c'est installer votre femme en andromaque. Et vous l'observez. La classe 1 s'emmerdera. Elle vous pondra un show digne des films de boule. Que du fake. La classe 2 va se frotter son clito sur vous méthodiquement jusqu'à décoller. La classe 3 fera pareil en dépensant juste plus de temps dans ses mouvements sur votre sexe. La classe 4 va prendre elle vraiment son temps et savourer ses sensations avant de se finir en vaginal. Quand à la classe 5, elle va mettre de 10 secondes à maxi, grand maxi une minute pour décoller. Ensuite elle vous regardera comme un sportif qui vient de bouger ses bras pour s'échauffer, genre, bon, la suite du programme, c'est quoi ?

Vous pouvez penser que je déconne ou que je cherche à amuser la gallerie. Croyez moi, je ne déconne pas. Très rares sont les femmes à sortir de mon système de classe. Et d'ailleurs, quand des dizaines de femmes défilent dans votre lit et que vous obtenez invariablement ces mêmes comportements, vous n'avez plus qu'une envie, c'est de tomber sur une surprise qui ne correspond à rien de déjà vu... mis à part le fait que vous avez déjà en stock une classe 5 et une classe 4 qui assure un minimum vos besoins essentiels (donc que vous êtes quand même vaguement déjà polygame avec tout le cortège de mensonges qui va avec pour faire tourner votre petite affaire).

Dernière précision. J'ai croisé 3 femmes fontaines. Au début, c'est amusant, mais rapidement, cela devient chiant. Elles en foutent partout. Cela me fait penser à la scène dans la série Californication saison 1 où le copain se prend tout en pleine face au moment où son ex femme rentre dans la chambre... Cela dit, les femmes fontaines n'échappent pas à mon système de classe au niveau de leur plaisir.

Alors comment gère t on ces femmes en fonction de leur classe ?

 

CLASSE 1

La nana, à la base, c'est un boulet dont il faut se débarasser au plus vite. A Bangkok, on appelle cela une ETOILE DE MER. Je tombe ultra rarement sur une classe 1. Elles apparaissent dans mon lit quand je débranche mon scanning.

Généralement, ce que je fais, quand je les mets pas direct à la porte en prétextant que nous ne sommes pas compatibles, je joue un peu. Si je parviens à allumer mon missile, ce qui n'est pas gagné, car une classe 1 dégage rien, je fais qq galipettes et au bout de dix minutes, j'en arrive à ma surprise spéciale classe 1 que je leur ai créé.

Je simule un orgasme. Sans fracas, le plus réaliste possible. La classe 1 a simulé toute sa vie. En plus, elle a dans son crâne une idée fixe (elles ont toute ça, je sais pas pourquoi), celle qu'il faut jouir en même temps que l'homme. Quand on connaît les possibilités du corps féminin qui n'ont rien à voir avec celles de l'homme, c'est juste grotesque. Mais bon passons. Si vous avez une classe 1 dans votre lit, il est temps de lui laisser un souvenir unique dans son palmarès de fictions et de mensonges.

Vous simulez un orgasme. Elle mordra à l'hameçon comme toutes les classes 1 qui n'ont absolument aucune idée de ce qu'est un rapport sexuel qui marche.

Elle va vous simuler à son tour un bon petit orgasme, bruitage, corps et tout. Du vrai travail de pro. Et après, elles prennent parfois jusqu'à une minute pour faire semblant de réatterir. Je ne peux pas m'empêcher de pouffer de rire quand je vois ça. Elles me demandent alors ce qui se passe.

Il se passe ma cocotte que tu viens de me prendre pour un con. Moi aussi j'ai simulé. En fait, je suis encore bien raide comme tu peux le voir. Et t'as pas fini d'en chier avec moi.

La vérité à ce stade, c'est que soit la fille me plaît vraiment et je tente l'impossible, me finir sans contact (éh oui, avec une classe 1 sans contact possible, soit je ne m'allume pas, soit je ne me finis pas. Au début, je me tapais la honte, mais maintenat que j'ai pigé le jeu caché, j'assume total. Mettre une femme classe 1 dans son lit pour se branler tout seul dans un vagin et ensuite, se dire que tout va bien, est à mon avis un plus gros problème que d'avoir des réactions de rejet parce que la femme est indisponible sur un plan technique).

Soit il existe un rien qui ne va pas et je met fin à cette farce. Je ne suis pas client de ce genre de femmes. Les tricheuses. Probablement qu'il y a un problème physiologique à la base. Des soucis psychologiques aussi. Mais je ne suis plus l'armée du salut. Chacun sa merde. Quand je leur indique gentiment mais fermement le chemin de la porte, elles sont surprises. La plupart des hommes n'ont pas capté leur jeu. Ils viennent, s'occupent d'eux tout seul et sont contents. Bangkok ne réunit pas la crème de la crème des hommes, j'en conviens...

Quand je vois le nombre de mecs parfaitement incapables de faire la différence entre des seins siliconés et des seins naturels, alors qu'ils vont passer une nuit entière avec... je ne suis pas étonné de savoir que de nombreux hommes se foutent éperduemment de savoir qu'ils ont couché avec une classe 1.

En tous les cas, croyez moi, jouer au jeu du mec qui simule, c'est radical. L'effet est garantie. Aucune n'a jamais vu un mec faire ça. Du travail de french helicopter. Elles en parlent aux copines et nous, cela tombe bien, les copines peuvent aussi nous intéresser.

D'une manière globale, si vous avez une quelconque envie de réussir votre vie de couple et sexuelle, oubliez les classe 1. Faudrait les parquer dans une zone spéciale avec des panneaux dessus. Régulièrement, il existe de superbes classes 1. La beauté ou le corps sexy ne vont pas de pair avec la jouissance. A mon avis, il existe des hommes qui n'aiment pas le sexe. Il faudrait les mettre en couple avec les classes 1. Si on pouvait dégager un maxi de beaux gosses et les mettre avec les classe 1, cela sera pas du luxe... héhéhéhé.

 

PASSONS AU CLASSE 2 !

La classe 2, je les fuis. C'est un enfer. Les clitoridiennes. Je suis inadapté à ce genre de femmes. Je peux les toucher. C'est facile mais derrière, les rapports avec des vagins morts, c'est juste inutile. Il n'y a aucune sensation. J'ai l'impression d'être seul. Et pire, les femmes classe 2 s'emmerdent. Je peux comprendre que se faire ramoner la tronche sans jamais décoller, cela doit être chiant à la longue. Enfin, elles peuvent décoller, mais il faut toujours qu'il y ait un doigt, soit le leur, soit le nôtre en train de faire du frotti frotta.

Je n'ai pas de techniques particulières à part les éliminer au bout du premier soir en mentant pour leur laisser l'honneur intact.

En plus, au niveau énergie, l'orgasme clitoridien est dense et trop puissant pour moi. La plupart du temps, il me fait décoller. Du coup, on se retrouve au bout de dix minutes comme deux cons. Je suis frustré. La femme classe 2, elle a du mal à enchaîner. Certaines parviennent à faire du multi orgasme clitoridien. Mais à chaque fois, il faut faire un travail manuel. C'est en gros de la branlette. Une classe 2 est et restera à jamais des femmes liées à la masturbation. La masturbation, c'est sympa, mais il n'y a aucun échange d'énergie entre l'homme et la femme. Donc, cela reste assez pauvre comme type de contact. En ce qui me concerne, mon niveau d'hormone dopamine, endorphine et le reste, il bouge trop faible. Cela me frustre. Il me faut une fusion sexuelle pour me nourrir.

J'ai récemment passé un mois entier avec une classe 2. Comment j'ai fait ? Tonio se pose encore la question !

En fait, c'est la seule thaïe dont le visage me plaisait. Je n'ai que des photos de nuit d'elle. Elle ressemblait à une japonaise avec des pomettes.

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Un mois entier avec une classe 2 ! J'en ai chié. J'ai réussi à la faire changer de classe qu'au bout de la dixième nuit. Elle est montée en classe 3. Et encore, à quel prix ? Je me suis bien vacciné avec elle.

Ce que je n'aime pas avec les clitoridiennes, c'est la violence. En plus, elles mettent trois heures à décoller. Faut frotter, frotter et frotter. Et croyez moi, en toucher, c'est mon point fort, mais là, les classe 2, je finis par m'emmerder alors que j'adore ca, la branlette en entrée avant le plat de résistance. Il m'est arrivé de penser au business dès fois tellement ça durait ! En andromaque, je finis toujours par me demander si ma bite va résister à leur chevauchée brutale. Elle tente désespéremment de sentir quelque chose dans leur foutu vagin non connecté.

Tiens Charles, vla ta bite. Je suis désolée, je crois que je l'ai un peu cassé. Ah attends, y a un morceau là. Excuse. Tiens. Tu peux pas la recoller ?

La Kim ci dessus, j'ai réussi à la faire décoller deux fois en vaginale. La deuxième fois, j'étais désespéré. En fait, elle m'avait fait partir une première fois avec son propre plaisir. Et là, pour une raison mystérieuse, 5 minutes après, j'étais nickel prêt à nouveau au combat, missile rechargé.

Je réattaque. J'en ai chié. J'ai terminé en sueur, au bord en permanence d'un point de côté, alors que je suis en grande forme physique en ce moment. Je me souviens m'être dit :

Charles, s'il faut faire tout ça à chaque fois pour avoir un rapport de contact, c'est juste impossible. IMPOSSIBLE.

J'ai jeté l'éponge. Pourtant elle me plaisait. C'est la seule classe 2 avec qui j'ai insisté et j'ai obtenu le même résultat que d'habitude.

 

CLASSE 3

J'en ai pas eu beaucoup récemment. En fait, c'est comme les classe 1 et 2, je ne reste jamais plus d'un soir une fois que j'ai saisi à quoi on jouait. La classe 3 en fait, elle sauve les meubles. Du ratage perpétuel des classes 1 et 2, on peut vivre un truc correct avec et passer une soirée sur un délire qui finit bien. Mais derrière, il ne faut pas tenter le diable une deuxième fois. Physiologiquement, il y a des limites. Souvent le désir n'est pas stable. Faut le voir pour le croire, mais la plupart des femmes ont un souci avec le désir. Elles arrivent pas à le contrôler et surtout à le faire durer. Il descend, disparaît, revient... (malgré tout ce que je suis capable de faire pendant plusieurs quart d'heure s'il le faut, pour les maintenir en haut, qui va du raclage de la colonne vertébral aux baisers partout où ça colle des frissons...) C'est vraiment ce qui sépare les classes 1, 2 et 3, des autres femmes de classe 4 et 5.

En portefeuille, j'ai juste 40kg dont j'ai déjà parlé au chapitre 13 (son surnom vient de la finesse incroyable de son gabarit tout autant que son prénom imprononçable) et que je présenterais à la fin, car c'est un cas rare où il faut savoir parfois sortir de temps à autre du modèle.

 

CLASSE 4

Ah la classe 4. J'y ai fait mes armes. Je suis comme un poisson dans l'eau. C'est la classe reine. Elle est dure. C'est la plus exigeante de toutes. Ce sont mes préférées les classe 4.

Ce sont des femmes clitoridiennes et vaginales qui peuvent enchaîner de un à cinq orgasmes par heure de jeu.

Tout le secret est la durée de leur cycle. Elles vont mettre entre 5 et 15 minutes par orgasme. Faut pouvoir tenir, encaisser l'orgasme et remettre au pot derrière, après quelques minutes de relative calme.

D'un côté, les classes 4 sont des femmes parfaites pour les jeux divers et variés. En 10 minutes, on peut en faire des conneries. On peut les faire monter doucement, tendrement, puis les terminer assez fort. Pour l'orgasme suivant, on peut changer du tout au tout, de pièces, de positions, de rythme, d'ambiance. C'est une oeuvre d'art à écrire à chaque fois. Chaque orgasme est indépendant. La créativité est illimitée.

Si en plus il y a de l'amour entre les deux partenaires, c'est le paradis.

Je suis nostalgique en écrivant cela. Je n'aime plus par amour. Mon coeur est fermé. Je prends du bon temps. Du sexe sans amour. J'ai mon radar qui obtient des résultats hallucinants en scanning pour la sélection des classes 4 et 5. Je le fais même tourner pour Tonio qui a chopé une classe 5 un soir après une lourde intervention de ma part. Il a failli ne pas y aller le fou ! C'était sa première classe 5. Ouais, Tonio, je te balance ici. Tu as failli rater une classe 5 putain !

Les classe 4, ce sont des femmes que je comprends parfaitement. Je sais les accompagner et jouer.

En discutant avec d'autres helicopter de combat, je me suis aperçu qu'à ce stade, beaucoup d'entre eux ignoraient la manipulation d'une classe 4. On ne bourrine pas une classe 4. Faut l'installer tranquillement. Bon OK, certaines classe 4 aiment être tamponnées. Mais en fait, elles aiment tout et peuvent tout faire. Et c'est justement le secret, de tout leur faire faire. Il faut les pousser à bout, mais en sachant respecter leur rythme. Sinon, on casse tout.

Une classe 4, faut pas envoyer l'épendage avant qu'elle ait au moins 3 ou 4 orgasmes au compteur. Sinon, elle va être frustrée.

Beaucoup de femmes se sont libérées classe 4 à mon contact. En fait, par expérience, je finis par penser que les hommes à la sexualité pulsionnelle écrasent les classes 4. Ils les étouffent avec leurs délires et leurs fantasmes. Elles ont besoin de contact, de présence, de confiance. Les pulsions, faut laisser ca aux classes 2. Je les appelle des fermières. Elles ont besoin de massonneuses batteuses les classes 2. Tandis qu'une classe 4, on est en haute couture cousu main. On est dans le registre des sensations temps réelles connectées au cerveau. La richesse et la palette des possibilités exigent de la finesse.

Les classes 4 sont donc souvent des mal baisées, car elles ont de grosses exigences. Tant qu'elles ont été mal baisées toute leur vie, elles ne savent pas leurs possibilités. Mais dès qu'elles trouvent le bon partenaire qui les révèlent, c'est le paradis, je le répète. Elles s'ouvrent comme des fleurs. Et derrière, quand on arrive pas en initiateur et qu'elles se connaissent déjà, il y a juste à composer la douce musique de la fusion sexuelle.

Je baigne dans une relative abondance de classe 4, mais j'ai bien conscience qu'elles sont peu nombreuses, moins de 10% selon les enquêtes. Nous vivons dans un monde de tarés qui donnent la priorité dans la vie à des trucs peu nourrissants. Si toutes les femmes étaient mini classe 4, y aurait plus personne pour bosser ou faire la guerre...

 

Enfin les CLASSES 5

C'est une classe que j'ai découvert en 2013 à Bangkok. Avant, j'en avais croisé une quand j'étais jeune, une rousse incendiaire et énervée de la bite grave de chez grave. Mais je n'étais pas à la hauteur. Et surtout, je n'avais rien compris de la gente féminine...

Là, maintenant, j'ai bien potassé mon histoire. Je suis au point.

Une classe 5, c'est avant tout une multi orgasmique vaginale de compétition. Elle décolle ultra vite. Tonio et les autres étaient un peu dubitatif quand j'en parlais. Pourtant, maintenant le Tonio, il sait ce que c'est.

Une classe 5, c'est un engin de guerre, un truc qu'on voit que sur internet, un jouet vivant pour hommes plus cochons que la moyenne. Faut le voir pour le croire.

Elle décolle de partout, à la vitesse de la lumière.

Les cycles sont très courts, bien plus courts qu'avec une classe 4, de l'ordre de 15 secondes à 3 minutes environ.

Baiser une classe 5, c'est une succession de sprint.

La plupart des mecs échouent là aussi à baiser correctement une classe 5 car ils ne comprennent pas les possibilités. En imposant leur propre rythme, ils détruisent tout le potentiel. La classe 5 fait ce qu'elle peut pour s'adapter. Mais elle est loin de délivrer toute sa puissance si l'homme ne s'adapte pas à elle !

J'en ai croisé une récemment. Je suis devenu number one en une seule nuit dans sa vie. La grande classe pour moi. Le métier a parlé... Elle a fini par cracher le morceau par skype alors que je suis au Costa Rica en train de vous écrire. Dix jours il lui a fallu pour me l'avouer. C'est à cause d'elle que j'écris cette deuxième couche.

Je me dis que définitivement je détiens des infos qui font mouche en matière sexuelle. Il faut que je les transmettes.

Voyons la gueule de ma classe 5. Elles parlent très bien anglais. Elle est vivante. Elle est vraiment déconneuse à mort. C'est une pure femme de ville, née à Bangkok, 34 ans.

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Elle a respecté à la lettre toutes les consignes de la classe 5. Son clito l'emmerde. Elle a décollé en 20 secondes la première fois. J'ai tout de suite pigé à qui j'avais affaire. Je me suis adapté à ces particularités à une telle vitesse. Elle a jamais vu un homme piger son mode d'emploi comme cela.

Cette femme a été mariée pendant 11 ans à un chinois (quel con celui là. Il faut vraiment être con fini pour passer 11 ans avec un engin de guerre sans jamais l'allumer). Ensuite, elle a traîné avec des américains dans des histoires plus ou moins foireuses avant de démarrer depuis deux ans une activité nocturne intense.

Donc en synthèse, jusqu'à 32 ans, elle avait pas vu grand chose et depuis deux ans, le défilé a été assez important.

Personne ne l'avais baisé correctement. Personne ne savait qu'une classe 5, c'est une succession de courts sprints avec démarrage lent, très lent, volontairement trop lent...

C'est vraiment le compartiment de jeu que j'ai le plus développé. Et aujourd'hui, je suis le meilleur avec les classes 5, mais je préfère les classes 4.

En fait, ce que a priori, très peu de mecs savent, c'est qu'une classe 5, il faut la monter minimum à 10 orgasmes. Faut pas lâcher avant. ll ne faut pas avoir peur. En plus, elles disent toutes non, fini, j'en peux plus, stop. Et hop, c'est reparti pour un tour. Elles redisent, oh non, fini, j'en peux plus. Eh bing, un nouveau cycle.

Faut pas écouter les conneries des femmes. La plupart du temps, elles n'ont aucune idée de leurs propres fonctionnements.

Si on a pas l'expérience et la connaissance de ce genre de physiologie, on ne peut pas deviner la règle du jeu d'une classe 5.

Faut pousser le bouchon et enchaîner en accompagnant bien comme il faut chaque décollage. Aucun problème d'endurance. Vu la vitesse à laquelle ces trucs là partent, c'est impossible de perdre le contrôle en tant que mec...

En l'occurence, cette thaïe de 34 ans fait partie des femmes les plus énervées tout en étant normale dans la vie courante que j'ai jamais croisé. Elle a le désir stable et permanent. Elle peut rester une heure durant affamée. C'est très rare. Elle est no limit. Elle a toutes ses chances de devenir ma régulière numéro 1. C'est un toy vivant pour mec. Moi, quand on me donne du 5 étoiles, je pisse pas sur le mur de la chambre...

Notre connexion fut totale dès la première minute. Pourtant, je ne suis pas attiré plus que ça et je ne l'aime pas. Je n'ai fait aucun effort. Mais nous sommes parfaitement adapté l'un à l'autre parce que je l'ai identifié classe 5. N'allait pas croire qu'il faut être bon avec une classe 5. Faut juste savoir. Y a rien de plus facile qu'une classe 5. Avec 300 chevaux sous le capot, il est impossible de se rater. La clio d'à côté au feu rouge, même si vous êtes mauvais, au feu suivant, elle sera derrière. C'est reposant 300 chevaux !

Le deuxième jour, je lui ai collé 30 orgasmes dans la journée. Elle est du matin, je suis du soir. On a dealé 16 le matin et 14 le soir. J'ai fait un geste commercial. Je lui en ai filé deux de plus sur le matin... Elle savait pas qu'elle pouvait vivre cela. Très franchement, je suis resté assez distant. Je partais le troisième jour au Costa Rica. Je n'ai pas poussé le bouchon. Je pense que je vais la pousser à mon retour. Je vais prendre le temps de découvrir sa limite. Le pire, c'est que tous les deux jours, elle m'envoit ses photos de robes sexy à mort pour me maintenir sous la bonne pression, selon ses dires. Une classe 5 a le démon dans le corps. Selon la bonne vieille loi de Pareto, pourquoi se faire chier avec un classe 1, 2 ou 2, hein ?

 

LES FEMMES ET LES EMOTIONS

Pour terminer, à côté de ces 5 classes, j'utilise les 7 modèles de base des relations amoureuses exposées par l'excellent auteur ALON GRATCH http://www.amazon.fr/Pourquoi-casse-alors-pourrait-marcher/dp/2228901598/ref=pd_sim_sbs_b_4

Sa modélisation, elle est parfaite. A côté du sexe, qui dit femme, dit soucis émotionnelles à gérer. 7 cases à identifier avec son livre et après là aussi, c'est une affaire qui roule.

Franchement, 5 classes pour le sexe, 7 cases pour les émotions. Avec ça, vous êtes parés à affronter la très grande majorité des femmes. Bien sûr, il y a les cas rares. Mais 75 à 80% rentrent dans ces modèles. Justement, les cas rares commencent à m'intéresser. Ils représentent la prise de risque pour moi. Ma curiosité est à nouveau stimulée. Oh tiens, un nouveau jouet qui marche pas pareil... Mais tôt ou tard, je reviens à mon jeu de base, une classe 4 ou 5 ! Bon en fait, chuutt, je ne reviens pas, j'ai juste toujours en portefeuille ces classes 4 et 5 et je pars de temps à autre à l'aventure en parallèle à la recherche de nouveautés.

 

NE JAMAIS ECOUTER LES SALADES DES FEMMES : LA GRANDE REGLE

Je voudrais pour approndir ce chapitre vous raconter deux histoires qui m'ont marqué.

Elles m'ont montré à quel point, il ne faut JAMAIS JAMAIS écouter ce que racontent une femme. J'ai été élevé dans un pays qui cultive l'égalité à tous les niveaux comme une obsession maladive névrotique. Un homme et une femme ne seront jamais égaux. C'est une connerie sans nom que de croire cela. Je l'ai cru. Je me suis planté. De nombreux mecs sont déçus autour de moi quand ils sont confrontés à l'absence de réciprocité des femmes. Ils sont toujours au stade où ils espèrent cette égalité. Moi j'en ai fait mon deuil. J'ai compris tardivement, dans la douleur, mais mes affaires marchent maintenant que je joue avec cette règle du jeu qui me semble être la bonne.

Il ne faut pas écouter ce que racontent les femmes pour l'action. Elles sont presque incapables de piloter leur vie, parasitées en permanence par leurs émotions. Celles qui en sont capables, ressemblent plus à des mecs et en perdent leur charme. C'est bien la contradiction impossible à solutionner.

Et il ne faut surtout pas écouter ce qu'elles racontent pour le sexe.

Il est préférable de lire des livres pour se faire une opinion concernant le bonheur et les besoins de femmes et ensuite de se fier à son jugement sur le terrain. Plutôt que de leur demander...

Certaines vont se sentir offusquée à la lecture de ces phrases qui ressemblent à de la misogynie. Cela n'a rien à voir avec de la misogynie. C'est du simple pragmatisme. Combien de femmes sont heureuses, satisfaites de leur vie sexuelle et courante ? Faut arrêter le pipo. En plus, vu qu'elles ne connaissent pas les caractéristiques de leur corps, elle évalue le bonheur et la réussite de couples de manière tronquée. Donc, on ne peut même pas avoir une conversation construite et pragmatique avec elles.

Cela me fait penser à cette histoire d'une entreprise concurrente d'un de mes sites. Une grosse entreprise, le leader en France, dirigée désormais par des femmes avec une majorité de femmes dans les effectifs. La boss a foutu dehors son auteur vedette qui générait 1 million d'euros par an de recettes, pour l'unique raison qu'il avait baisé sa copine et qu'il l'avait jeté derrière, mal et trop rapidement au niveau de la forme.

Quel chef d'entreprise homme prendrait une décision pareil ? Cela résume bien les différences entre hommes et femmes.

C'est simple : IL NE FAUT JAMAIS ECOUTER CE QUE RACONTENT LES FEMMES.

Bien sûr, il faut bosser en amont pour être juste et ne pas perdre le nord. Mais c'est notre boulot en tant qu'hommes que de driver et construire, que de prendre en charge la rationalité, la stratégie, l'efficacité. Chacun à sa place. Les femmes apportent autre chose dans l'équation.

Revenons à mes deux histoires.

La première, je suis à Prague. Les Tchèques, cela fait des années que j'ai compris que c'était avec les colombiennes, les plus belles femmes de la terre. Elles sont intouchables physiquement par les autres peuples. Des bombes massives qui déchirent les yeux.

Je suis à Prague et j'accroche une blonde munie d'une poitrine envahissante, une bonne tête de tchèque, 29 ans, yeux verts, blondes, un chassis sport en bas. Bref, un engin fortement comestible.

On en arrive à ma minute phare, celle du diagnostique. Elle est là, elle sent bon, elle est nue et ses yeux disent : viens me baiser. La minute de vérité vient de démarrer. Vous visualisez à nouveau ?

Je rentre mon doigt. Elle m'arrête sec. Ah non non, cela ne sert à rien. Je ne jouis pas comme ca. bla bla bla bla. J'ai le droit à une tirade digne d'anthologie. Je fais l'idiot gentil couillon, mais je ne lâche pas l'affaire.

Parce que j'ai fini par me rentrer dans le crâne qu'il NE FAUT JAMAIS ECOUTER CE QUE RACONTENT LES FEMMES.

Je l'ai copié 1000 fois sur un cahier, signé par mes parents. Punis comme à l'école.

Bon bref, je parviens après d'âpres négociations qui vont durer au moins 10 minutes (je vous laisse deviner la scène irréel à vivre), moi à lui rentrer un doigt, pendant qu'elle m'explique que c'est inutile... Je sais que je n'ai que quelques dizaines de secondes au plus pour faire mes preuves quand enfin, j'obtiens le feu vert. Je file direct sur son point G et je commence mon massage.

Je fixe ses yeux pour voir. Je m'en souviendrais jusqu'à la fin de mes jours. Elle avait tellement peur que je démarre comme un bourrin de base mes allers et retours avec mon doigt. Et là au contraire, elle se retrouve manifestement avec une bonne sensation qui est à priori nouvelle. Elle est surprise les premières secondes. Je viens de gagner quelques dizaines de secondes supplémentaires pour faire mes preuves. Je continue mon travail. J'avais interdiction de toucher son clito. J'y vais quand même et je démarre mon spécial combo à vitesses et intensités différentes.

Son oeil a déjà tourné. Il est vitreux comme la nana dont le corps glisse doucement vers le décollage.

J'enchaîne. Parce que les contradictions des femmes, j'en ai soupé.

Alors comme ça, tu me dis que quand je te touche ici, c'est désagréable et cela ne sert à rien.

Elle ne répond pas.

Je repose ma question.

Ici, là, tu n'aimes pas quand je te touches. Expliques. Veux tu que je retires mes doigts ?

Pas de réponse

Attends dis moi, parce qu'après tout ce que tu m'as raconté, on a dit que j'essayais juste et qu'ensuite, je m'arrêtais. Alors, je m'arrête ou je continue ?

Je finis par obtenir un faible oui.

Oui, je continue ? Ou oui, j'arrête ?

Oui, tu continues.

2 minutes plus tard, elle explosait.

Et j'en arrive à mon histoire.

Je la laisse réatterrir un peu, mais je ne sais pas, mon petit doigt me dit qu'elle en a sous le capot, celle là. Il faut pousser le bouchon. Je le sens.

Alors, j'y retourne.

Et là, elle me scotche. Elle m'arrête à nouveau. Ah non non non, madame m'explique que quand elle jouit comme cela aussi fort une fois, elle ne parvient plus derrière qu'à avoir des petits orgasmes. Cela ne sert donc à rien que je la retouche. Je perds mon temps.

Et nous voilà à rejouer exactement la même scène que dix minutes plus tôt. Je suis encore plus renversé de surprise que la première fois. C'est irréel mais elle a l'air sérieuse. Elle me bloque l'accès à son vagin.

Hé putain, rends moi mon jouet. J'ai pas fini... allez prêtes le bordel. Oh là là, tes pas partageuse toi...

Bref, je refais l'idiot. Et je refais le mec qui quémande juste un test pour voir.

Je patiente ferme, déterminé, confiant et elle finit par lâcher. Je repars dans mes massages intimes.

Piqué au jeu, je lui ressors les mêmes phrases.

Alors comme ça, quand je te touche là, c'est moins intense que la première fois, tu ne sens pas grand chose...

Je lui remet sur un plateau tout son délire. L'oeil revire au vitreux.

Et trois minutes plus tard, elle explose avec beaucoup plus de force que la première fois.

Soit l'inverse exacte de tout ce qu'elle a raconté et défendu avec vigueur. Le truc dingue, c'est que deux fois de suite, j'ai passé plus de temps à parlementer qu'à toucher.

Après, on a baisé normal.

La moralité, c'est qu'il ne faut JAMAIS ECOUTER ce que racontent les femmes. Cette femme là avait 29 ans et manifestement, elle en savait foutrement rien, comme les autres, de ce que son corps pouvait lui faire vivre.

Des scènes comme cela où je suis passé outre, je ne les compte plus.

La deuxième histoire qui m'a marqué, c'est 40kg dont j'ai déjà parlé au chapitre 13. Elle est passée au fil des mois de la classe 2 à la classe 4. Un cas rare à étudier.

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40 kg émotionnellement est dans un modèle qui est peu compatible avec le mien. C'est du genre cours moi après que si tu me fuis, je te cours après.

Moi, cela me casse les burnes. Du coup, cela fait 8 mois environ que je vois 40 kg une à trois fois par mois. Quand on se croise.

C'est vraiment un petit bout de femme que je respecte. A 24 ans, elle se démerde bien. Elle bosse dure. Elle voyage et s'ouvre sur le monde. Elle est à Singapour en ce moment pour une semaine. Elle a passé un mois en Allemagne. Bref, je suis certain qu'elle va s'en sortir contrairement aux autres.

Quand elle est dans ses robes moulantes, maquillées et perchées sur des escarpins, c'est un avion de chasse. Moi, les trucs sexy sans forme, c'est pas trop ma came. Je préfère les femmes plantureuses. Mais je dois avouer que toutes voiles dehors, elle en jette. C'est simple, tout l'escadron de french helicopter a voulu récupérer le tèl...

40kg quand je l'ai rencontré, c'était une pure classe 2.

Seulement, il y a un détail où le système de classe peut être oublié ou mis de côté. C'est ce que j'ai appris avec elle.

C'est quand la femme aime la bite.

Exprimé dans le dur comme cela, ce n'est pas très romantique. Mais c'est la vérité.

Les femmes qui aiment la bite, SONT RARES. Je veux dire, celles qui aiment vraiment la bite. Je ne parle pas de toutes celles qui pipotent et qui jactent. 40kg aime regarder les gogos danseuses dans les bars, même si elle travaille en journée à fourguer du crédit conso à des taux de 15 à 20% par an... Une commerciale de banque qui rêve d'être gogo danseuse. Je crois qu'une grande majorité de femmes préfèrent l'inverse...

C'est un chat sauvage. Si elle me laissait l'approcher de plus près, c'est un volcan ce truc. Il ne demande qu'à entrer en fusion. Je sais comment faire pour l'allumer, mais comme tous les chats sauvages, la période des festivités où on baisse la garde, est des plus courtes.

Avec 40kg, j'ai pas besoin de faire de la cardio. On y a passé de nombreuses heures. DES HEURES.

Attention, des HEURES à BANGKOK. Pays tropical. C'est une chose de baiser en Bretagne avec 15 degrés dehors. C'en est définitivement une autre que de baiser à 28 degrés dans un pays tropical humide... Le mec qui baise une heure dans ce four, il a intérêt à suivre physiquement. La clim, elle perd rapidement en efficacité. Combien de fois j'ai jeté l'éponge, épuisé. C'est l'une des seules qui m'a crevé. Plusieurs fois.

Parce qu'elle aime ça, la 40kg. Elle ne jouissait pas, mais on peut facilement sentir qu'elle est contente. Elle aime tellement cela qu'elle mate des films de boule japonais sur son iphone. C'est une énervée de la bite.

Alors, je l'ai mis sur mon skype. Seules 4 femmes y ont eu le droit. Sur 50 ? Hum hum...

On s'est croisé et recroisé. Depuis que je joue avec les règles du jeu du livre sur les 7 modèles émotionnels, je n'ai plus jamais eu de souci avec 40kg. J'ai géré toutes ses mines anti personnel prêtes à me péter à la gueule. Je zigzague comme un chef au milieu...

J'ai déjà raconté comment elle est passée de la classe 2 à la classe 3 dans mon précédent chapitre. Récemment, elle est passée en classe 4 suivant la bonne et vieille tradition, à savoir en racontant des grosses conneries juste avant.

C'était un soir. Elle m'explique calmement qu'elle ne peut jouir qu'une fois et seulement en andromaque. Je passe sous silence que je l'ai fait décoller pour la première fois dans une position autre que l'andromaque et je m'assoies sur mon ego...

Je ne sais pas pourquoi j'ai cet instinct du tueur à gage quand il s'agit de ce jeu.

Bref, je n'écoute qu'à moitié ses salades et on se lance dans nos opérations.

Et là, un festival. Elle me fait un festival. Elle part trois fois d'affilée comme une vraie classe 4 ! Et elle a recommencé le lendemain.

Moralité, une femme peut évoluer, à condition qu'elle aime vraiment cela. Autant, je suis intimement convaincue qu'une classe 5 nait classe 5. On ne peut pas le devenir. C'est physique ce truc. C'est de la pure physiologie.

Autant, les classes de 1 à 3 peuvent tendre vers la classe 4 si elles aiment ca. Elles se planquent souvent derrière le fameux.

C'est à cause du mec que j'y arrive pas...

Ben voyons. Généralement, je provoque dans la foulée, immédiatement. Histoire de claquer.

Eh, tu te branles combien de fois par jour ?

....

Sous entendu, commences d'abord par t'occuper de tes fesses glaciales et ensuite, tu pourras disserter sur la maladresse effective de mes congénères...

Quand on baigne en intensif dans cet univers de femmes, les choses changent. Les hommes ont le pouvoir à Bangkok. Et en plus, on devient dingue. Faut nous voir là bas. On est presque à l'état animal. Des sauvages. Dès qu'on a une baisse de régime, ya une armée de SMS qui arrivent pour nous relancer. La magie des pays jeunes !

Quand on fait des dîners entre french helicopter, on en raconte des souvenirs de guerre. Quand on pense au film LE COEUR DES HOMMES, excusez moi, mais ce sont des petits joueurs là dedans, des Butterfly. Si je devais raconter les aventures de Brutus, le boxeur de 23 ans avec un coeur en or ou Antoine, le SEO qui a changé ma vie pro, il faudrait que je gratte pendant des semaines des pages internet... J'aime bien ce truc de chacal extrême. J'ai beaucoup appris. Il m'a fait oublier mes déceptions sur la vie. Mais il faut du contraste dans la plus pure logique paradoxale.

C'est donc pour cela que je rentre au bout de deux mois de Bangkok, ici à Ojochal pour me mettre au vert, à la diète totale pendant 4 semaines, loin de tout cette dinguerie humaine. Et croyez moi, au bout d'un mois entier de jungle, quand je déboule à BKK, c'est l'explosion de sensations !

 

TROIS AUTRES SCENES

J'ai eu aussi trois scènes récentes qui mettent en lumière ce que sont les femmes.

La première. J'ai une fille à l'appart qui tire la tronche depuis deux heures. Antoine y a été. Rien. Tout va bien qu'elle raconte. Moi, j'y suis allé avant et après. Tout va bien.

J'ai même droit à la tirade habituelle

Pourquoi est ce que je lui dis que cela ne va pas bien, alors qu'elle va bien ? Comment est ce que je peux mieux savoir qu'elle ce qu'elle ressent ?

Hein Charles ? Tes prétentieux Charles ou quoi ?

Ben oui, je suis prétentieux. Une nana qui tire une tronche de trois kilomètres de long, faut pas avoir fait bac +18 pour le voir...

Alors, j'ai pris cette femme pour ce qu'elle était. Je n'ai pas écouté ses conneries et j'ai fait mon boulot de mec.

Je suis rentré dans son univers (heureusement, l'univers d'une femme la plupart du temps est basique. Faut scanner ses besoins essentiels pour tenter de voir si la source n'est pas là, vu qu'aucun évènement exceptionnel extérieur n'avait eu lieu) et j'ai posé des questions en écoutant l'intensité des réponses.

A la quatrième tentative, ce fut la bonne.

Madame s'emmerdait et avait envie de sortir.

Il est 23h30. Une fois que je tiens enfin la clef, j'impose immédiatement un changement de programme. Tout le monde sort. Antoine, mon boulet et moi.

Et là, le boulet sort la phrase suivante :

Ah non, il est trop tard pour sortir.

Elle n'a toujours pas compris son propre problème...

J'insiste en faisant mon boulot de mec. Si elle ne veut pas sortir, OK, mais moi, je sors.

Evidemment, elle a foncé sur sa robe de chiennasse, son make up et ses escarpins. En 15 minutes chrono, on a vu arriver avec Antoine un engin de guerre en formation de combat.

On descend. Il faut marcher 50 mètres pour sortir de notre résidence.

50 mètres, c'est court.

En 50 mètres, elle a retrouvé sa patate. Cela se voit sur sa gueule.

Au bout de 50 petits mètres, elle sort la phrase, Antoine m'est témoin, qui résume ce qu'est la nature féminine.

AAAHHHHH, ben je me sens mieux maintenant. Tout à l'heure, en fait, je n'allais pas bien. Cela me fait bien plaisir de sortir...

Comment ne pas exploser de rire ? Elle n'a pas sourcillé une seule seconde devant l'énormité qu'elle nous sortait. On en était à plusieurs heures entières de je tire la gueule...

Fini au passage les OH comment peut tu savoir mieux que moi ce que je ressens ?

Et en tant que mec, on se dit à ce moment là, allez un peu de réciprocité, tu vas bien me dire, un petit merci au moins ? Tu vas bien progresser un peu, piger la mécanique dans laquelle tu étais et tenter de l'enrayer par toi même. Tu vas bien comprendre que les heures que tu as passé à faire chier pour rien, il faut te les faire pardonner.

Que dalle ! Il est jamais venu le merci et encore moins le reste. De toute façon, après avoir collecté les histoires de mes congénères, il est désormais confirmé que rien ne vient jamais. Les femmes imposent sans état d'âme, leurs états d'âmes !!! C'est la règle du jeu que nous devons accepter en tant qu'hommes. Elles en ont rien à foutre des conséquences de ce qu'elles sont. Prendre ses responsabilités, c'est juste un truc impossible pour elle. Etre irresponsable, ne pas se prendre la tête, ne pas en chier surtout ou faire semblant en effleurant juste la surface des problèmes (le problème numéro 1 en France étant Môman qui a été très méchante et qui continue de dire des choses pas gentilles qui font très mal... et en Thaïlande, la trahison des hommes et le coeur brisé tout autant que les soucis financiers).

J'en serais encore à tenter de discuter et faire en sorte qu'elle aille bien avec l'autre si j'étais resté comme avant. Elle va enfin bien ce soir là, parce que suffisamment de cobayes ont défilé et que je sais désormais ce qui marche et ce qui ne marche pas ! Surtout, je prends les femmes pour ce qu'elles sont.

En fait, quand une femme part en couille, faut juste gérer à froid. Les femmes ne sont pas intéressées comme les hommes à résoudre les problèmes sur un plan technique. Elles veulent se sentir bien. Peu importe les moyens et les manières. Aux hommes de s'adapter ou de périr. Aux hommes d'imposer et driver pour les rendre vivables.

Des trucs comme cela, c'est le quotidien.

J'en ai une autre. Elle traîne avec une cousine de 21 ans alors qu'elle a 35. Elle a des grosses cuisses. Alors que sa cousine de 21 ans pèse 40 kg habillée et mouillée. Du coup, la cousine est plus populaire. Comment elle explique cette différence de popularité ?

Très simple : les hommes préfèrent les femmes jeunes...

Mort de rire. Et allez lui expliquer que ses cuisses jouent un plus gros rôle que son âge qu'on est bien incapable de déceler dans le noir...

Allez encore une qui vaut le détour.

Cette femme a été mariée une décennie. Elle a découvert que son mari la trompait. Depuis, elle m'explique que les hommes sont des salauds qui ne pensent qu'à la bite. Aucune morale. blabla blablablabla... Elle le traitait comme un king selon ses dires. Elle se maquillait tous les jours comme il le voulait. Elle faisait la bouffe, le ménage. Elle faisait du fitness pour cultiver ses 6 packs. Elle portait des bas aussi tous les jours et des robes sexy (il l'a bien formé cette petite, héhéhéhé).

Au bout d'un moment, je l'arrête et je lui dis.

Ecoutes, je veux bien te croire que les hommes sont des salauds. Mais laisse moi te poser trois questions avant, car les relations amoureuses sont un jeu qui se joue à deux et souvent, l'échec est entraîné par les deux parties. Là, tu me dis que le mec t'a trompé et que tu es une pauvre victime.

Première question : vous baisiez combien de fois par semaine ?

La réponse tombe : une fois par semaine.

OK, j'ai plus de questions.

Une fois par semaine et après, elle s'étonne de retrouver son mec dans le lit d'une autre...

C'est physiologique. La majeure partie des hommes commencent à pas tourner rond au delà de 48h sans sexe. Cela nous gratte. Films de boule, putes, maîtresses, il faut une solution assez rapidement sous 72h ! Il faut que ça sorte...

C'est une constante partout dans le monde. Les femmes refusent cette réalité. Pire, n'ayant pas les mêmes contraintes physiologiques, elles jugent les hommes fort négativement avec nos besoins à satisfaire. Nous serions des obsédés, pervers et bla bla bla... ben voyons.

En Europe, pays vieux, avec beaucoup de surpoids et d'obésité, tout autant que de limites imposées par la culture catholique, les femmes peuvent tenir les mecs en laisse car le sexe est dur à obtenir.

Mais en Asie ou dans les zones chaudes, type latina, la sanction tombe immédiate. Le mec délaissé, on le retrouve systématiquement dans le lit d'une autre. Il y a toujours de la demande ailleurs. C'est suicidaire pour une femme que de nier la réalité physiologique d'un homme.

De même, je pense que les hommes sont suicidaires quand il nie la réalité émotionnelle des femmes qui sont incapables de cerner tout leur bordel et encore moins de le solutionner en temps réel. Quand je pense à quel point j'ai parlementé dans le passé, croyant à l'aptitude à l'évolution des femmes ou encore une fois à l'égalité et la réciprocité.

D'où ma grande phrase : je n'écoute plus ! J'en fais qu'à ma tête ! De toute façon, c'est dans l'intérêt des hommes que d'apprendre à gérer les contraintes émotionnelles des femmes, car qui dit pétage de câble dit presque toujours : sexe coupé. Les femmes qui ne se sentent pas bien commencent à peu près toutes par arrêter de baiser. Tous les hommes dans mon entourage, et là, je pèse bien les mots que j'écris, intégralement tous les hommes de mon entourage qui sont en couple, sont concernés par cette réalité, cette prise d'otage où il faut arrêter les activités sexuelles de 30, 50 voire de 100% parce que Madame a un souci émotionnel...

La grande problématique des couples, c'est vraiment celle là. Madame stoppe la baise parce que ca va pas et qu'elle arrive pas à résoudre toute seule le truc. Monsieur rate son aide et pète un câble au bout de quelques jours à quelques semaines selon son niveau de sentiments amoureux par manque sexuel. Et après, c'est la guerre de tranchée, masquée, sournoise, froide et vicelarde.

Donc il est largement préférable d'attaquer dès le départ le souci émotionnel quand il peut être attaqué et résolu. Sinon, au bout du bout, c'est presque toujours la rupture. Il vaut donc mieux être fort en tant que mec en terme de solutions.

Je ne suis pas parfait à ce niveau. J'ai longtemps été voir ailleurs quand on me coupait le sexe. A Bangkok, les femmes jouent moins à ce petit jeu destructeur, car elles savent toutes qu'un mec dans la nature a une espérance de vie en matière de solitude de seulement quelques heures s'il s'y connait un peu... Mais la plupart reste mal à l'aise avec notre aptitude à labourer tous les 24/72h quoiqu'il arrive...

Je ne résiste à l'envie de finir ce chapitre avec l'histoire d'Antoine.

Je vous pose la question : imaginez ce que cela donne, une classe 5 qui a une conscience aigüe des contraintes physiologiques des hommes ? Hein ?

Allez, je vous le fait en dialogue car on passe notre temps à faire des joke la dessus. Cela peut vous paraître irréel, mais je vous jure que tout ce que je raconte est du vécu. C'est la fameuse classe 5 qu'il a failli rater. C'est la deuxième plus belle thaïe qu'on a croisé en plus. Quand elle est dans la rue, malgré l'environnement hautement intensif en signaux visuels, tout s'arrête sur son passage. Tous les mecs matent comme des fous pendant que tonio se sent le roi du monde.

Antoine bosse depuis deux heures dans son bureau. Deux heures. Ouh là là là, c'est long. La classe 5 arrive, ferme la porte et lui demande :

Tu veux pas que je te suce ?

Antoine, concentré, répond :

Non pas maintenant. Plus tard. Faut que j'avance...

Irréel...

Une heure plus tard, elle revient à la charge.

Antoine, tu travailles beaucoup. Tu veux vraiment pas que je te suce ?

bla bla bla

Antoine, viens me faire l'amour... Antoine ci. Antoine ca...

Ah ca, Antoine, il n'a pas pu aller voir ailleurs. Tous les jours pareil ! Les semaines ont passé, elle a jamais baissé en régime. Enorme ! Le Tonio, il est épongé, rincé, lavé, emballé... Chapeau bas à la classe 5 !

 

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