HAHAHAHAHAHAHA.... !
Le grand sujet des femmes...
Je vais vous parler aujourd'hui
de faiblesse dans le domaine des relations amoureuses du point de
vue de l'homme. La faiblesse des hommes fait la force des femmes.
Oui, c'est vrai. On le lit partout et il est impossible de nier
cette vérité. Mais ce que peu d'hommes pigent dans leur vie, c'est
que les femmes ont aussi des faiblesses en dehors des beaux gosses,
des mecs fortunés, connus ou à compétences hors barême.
Tout a démarré...
C'est marrant parce que toute ma
vie de 15 à 40 ans, j'ai été très largement dérangé par les mecs
misogynes. Ils avaient tous le même profil. Des beaux mecs qui
enchaînaient les femmes jusqu'à mal en parler.
Il paraît qu'on est toujours
dérangé par les vérités qu'on ne veut pas regarder en face...
J'aimerais que la vérité qui me
dérangeait ait été que je sois un beau gosse qui s'ignore... héhéhé.
En réalité, ce qui m'a complètement échappé, c'est mon inexpérience
des femmes. C'est pas en sortant 30, 40 ou 50 françaises qu'on y
comprend quelque chose à ce sale jeu.
Les beaux gosses misogynes le
deviennent par contacts nombreux avec la gente féminine.
Ca, j'avoue, je ne l'ai pas
saisi. Il aura fallu que je m'envois autour de 75 femmes en trois
ans dans différents pays du monde pour piger.
Maintenant, ça va, j'ai imprimé
le sujet... et je suis devenu par la force des choses misogyne
également. Il n'y a aucun moyen d'y échapper.
Je crois qu'il vaut mieux
finalement rêver et rester dans une douce illusion vis à vis des
femmes plutôt que d'expérimenter pour mieux cerner la réalité. Parce
que cette réalité pue un peu. Bien sûr, il y a toujours les 5% de
cas rares tout jolis derrière lesquels tout le monde s'abrite, se rassure,
rêve... pour ne pas regarder la distribution des 95%...
A Bangkok, on a pas mal potassé
le sujet depuis trois mois (après un run de plus d'un an en ligne
droite où on a fait à peu près n'importe quoi...), aidé par mon deuxième Tony de Bangkok (à
ne pas confondre avec tonio l'espagnol qui fait parti aussi du team)
qui après 5 ans sur le terrain et une certaine sensibilité doublée
d'un très bon esprit analytique, est devenu un as de la
compréhension des femmes. Il m'a économisé beaucoup, beaucoup de
trimestres de tâtonnements (quoique tâtonner le cul des femmes pour
apprendre n'est pas désagréable en soi... hahahahah).
J'en ai pris conscience
récemment, car j'ai un allemand de 50 ans collé aux fesses de ma
régulière, qui est en train de sauter. Tout allait bien pour lui
avant que j'entre en compétition frontale, sans le savoir
d'ailleurs, ces garces de thaïes sachant mentir ou omettre avec un
art suprême. J'ai pu lire son comportement depuis qu'il est sur la
sellette officiellement, à travers ses messages que ma régulière me montre. J'ai lu
son désarroi, ses tâtonnements et aussi son inexpérience complète
malgré ses 50 ans qui l'empêche de saisir ce qui se passe.
Et c'est là que j'ai percuté à
quel point en 18 mois, j'avais explosé ma courbe d'apprentissage.
C'est d'ailleurs en partie en pensant à son expérience douloureuse,
provoquée donc à cause de moi, que j'ai accéléré le calendrier de
mon évolution sur le sujet des femmes. Pas envie de finir à 50
balais comme lui, dans le noir, à me faire manipuler parce que je
suis une quiche qui subit la norme sociale du respect de la femme.
Et ce jeu n'est en rien une affaire d'intelligence. Cet allemand a
du blé. Il est chef d'entreprise avec une longue expérience
internationale. C'est un truc de survie. Il passe complet à côté de
l'épreuve en s'y prenant vraiment comme un manche, sérieux !

Revenons à nos moutons à
nichons...
Il faut dire que les Thaïes sont
beaucoup plus dangereuses que les françaises (et en même temps,
beaucoup moins casse couilles aussi), car elles agissent comme des
hommes au niveau comportemental. Elles nous renvoient donc le même
challenge à relever qu'elles ont à traiter elle même pour attraper
un amoureux. On se retrouve en face de nous mêmes. En clair, elles
se font tirer de tous les côtés, enfiler chaque jour ou presque. Du
coup, elles sont aussi intenables que nous le sommes...
Rien à voir avec l'asymétrie
qu'on connaît en occident où les hommes sont censés être obsédés
perpétuel et les femmes, des gentilles innocentes qui subissent la
pression des pulsions masculines... quand on voit les thaïes sur le
terrain, on pige rapidement qu'il ne s'agit que d'une vulgaire
histoire de culture, de norme sociale et de religion. Les femmes
sont aussi bien faîtes pour baiser en permanence que ne le sont les
hommes, à moins qu'on leur bourrine sournoisement leur crâne dès
l'enfance en leur expliquant qu'en gros, on ne baise pas tous les
jours. C'est pas bien...

J'ai pas mal réfléchi à modéliser
à partir de notre base d'expérience de Bangkok et Costa Rica. On a un avantage majeur en
effet en tant qu'homme, c'est qu'on détient le pognon et l'aptitude
à faire de l'abstraction stratégique... ce que les femmes sont bien
incapables de faire.
Ce n'est pas de la misogynie
mesdames. C'est une réalité... la stratégie, c'est pas votre truc.
Heureusement pour nous putain...

En revanche, les femmes
détiennent un terrible atout pour faire galoper les hommes, soit un
beau visage, soit une belle paire de seins, un superbe cul ou un
comportement torride au lit avec au menu sex no limit.
En tant que mecs, il faut bien
reconnaître qu'on a aucun contrôle de la situation sur ces sujets
là.
Aussi, par analogie avec ce qui
se passe dans plusieurs pays que j'ai expérimenté (c'est important
de jouer dans plusieurs normes sociales diférentes pour éviter les
manipulations), je pourrais résumer le jeu avec quelques grands
repères.
Une majorité d'hommes aujourd'hui
perd la guerre des sexes au jeu amoureux. Les femmes ont réellement le pouvoir
dans la majorité des pays, protégées par la politique, le droit, la
religion et la norme sociale. Heureusement encore une fois que les
hommes n'ont pas abandonné la suprématie dans le pognon. Sinon, on
aurait signé notre arrêt de mort. La liberté financière des femmes,
faut le mettre le hola rapidement avant qu'il ne soit trop tard.
Sinon, bonjour les dégâts derrière. Les mecs réveillez vous, pendant
qu'il est encore temps.
Du fait de leur pouvoir, les
femmes abusent. J'ai bien conscience que si les hommes avaient le
pouvoir, ils en abuseraient aussi. Mais j'en ai rien à battre. Je
suis un homme. Je milite donc pour mon propre pouvoir. S'il doit y
avoir guerre, autant gagner.
Concrètement, la guerre, cela veut dire que
80% des hommes (au physique normal et sans atout pour les faire
ranker plus fort sur le marché de la femme, donc sans pouvoir,
argent, notoriété, compétences particulières...) sont brisés dans
des aventures amoureuses où ils ont ouvert leur coeur sur une
mauvaise partenaire qui trichait plus ou moins. Les femmes changent
tellement souvent de feelings, avec le cortège de pensées qui vont
avec, qui font 180 degrés sans aucun souci quand l'état émotionnel
se modifie, qu'on peut parler facilement de triche.
En clair, oui, une femme
peut vous kiffer, mais cela est vrai tant que vous ne sautez pas sur
une mine, traduisez que vous ne heurtez pas un sujet non négociable
explosif... Sur les 75 que j'ai fréquenté, une bonne quinzaine m'a
vraiment kiffé, c'est à dire que le long terme était sur la table de
leur côté. J'ai fait la sourde oreille.
Ce qui est marrant, c'est
d'expérimenter quand on y croit pas. J'ai provoqué des crises pour
voir comment la logique long terme tenait le coup face à une crise
court terme... J'ai vu.
Après les grandes déclarations et
les vraies ouvertures du coeur, j'ai vu ce que c'était que de sauter
sur une mine à froid, délibérément pour voir le niveau de conviction
de la femme. J'ai poussé le bouchon assez loin. Celles qui sont
revenues à la charge, c'est qu'elles en voulaient vraiment, parce
que franchement, j'ai mis la dose !
Trois ont eu de la conviction...
Et en même temps, j'ai pas testé à long terme sur plusieurs années
leur conviction... mais avec ce que j'ai fait, y avait une vraie
volonté.
Je sais maintenant ce que c'est
qu'une femme prête à s'engager avec un homme. Je ne parle pas des
engagements de madame tout le monde qu'on peut voir partout. Ce
genre de plan, à la première secousse, ça saute.
Je parle de femmes qui sont
prêtes à assumer même en cas de difficultés.
Quand aux autres, soit je ne vaux
vraiment rien de chez rien sur le marché du coeur... ou soit, hum
hum, vous connaissez déjà ce que tous les hommes qui ont tâté 100
sujets et plus, finissent par conclure...
Revenons à la guerre de l'amour
entre hommes et femmes.
Au delà des 80% de perdants, il reste les 10 à 20%
d'hommes beau gosses ou comestibles ou qui ont des atouts majeurs
dans leur jeu, qui ne s'investissent pas (ou partiellement et pour
cause, quand on rentre dans un stand de tir avec un flingue à la
main... on tire massivement jusqu'à plus soif !). Le clan des beaux
gosses
enchaînent les relations. Ces mecs terminent au compteur avec 200,
300, 500 relations... Ils laissent dans leur sillage un paquet
de femmes sur le carreau !
Je ne sais pas si le clan des beaux
gosses fait plus de dégâts que le clan des 80% de mecs normaux, mais
il est certain qu'ils font un carnage.
Idem du côté des 20% de belles
femmes, femmes bandantes ou chiennasses au lit, trois catégories
particulières qui bousillent un paquet de mecs dans leur vie.
Quoiqu'ils arrivent, grosso modo, les 80% de
femmes normales gagnent la guerre sur le clan des hommes normaux.
C'est marrant, entre deux avions,
je discutais hier à Miami south beach avec un grand black baraque.
On parlait de cul à Bangkok. Il était mort de rire, mais il a lâché
sans que je lui demande, qu'il était bien gêné par le pouvoir des
femmes aux USA. Je l'ai regardé surpris. Il venait de verser de
l'eau à mon moulin. Partout, les femmes gagnent majoritairement.
Elles ont toujours le dernier mot. C'est la réalité qu'il faut
accepter en tant que mecs normaux.
Toute la question pour survivre
en tant qu'homme normal, est donc de trouver une faille dans cette
bataille cruelle. Une faille présente uniquement chez les femmes, un
comportement qui donne un avantage certain quand on est un homme.

Cela tombe bien, j'adore trouver des failles dans les organisations humaines. Le
sujet tourne donc dans un coin de ma tête depuis des semaines. Je
projette des centaines de scénarios, en cherchant un truc qui
fait mouche dans ma problématique... Et puis, j'ai fini par piger et
extraire le bon truc de tout ce que j'ai vu depuis 18 mois.
Ce qui a débouché sur un nouveau
défi en perspective à relever...
Mettre dans une position de
faiblesse une chiennasse bandante, ahahahaha... le défi est élevé.
Mes potes de Bangkok me regardent souriant, genre impossible, mais
vas y, relève le défi, sait on jamais que tu y arrives quand même,
vu que tu es dingue, tu en serais bien capable finalement... Allez
tu as notre soutien. Si on peut profiter après, fonces !

Je parle d'harponner à long terme
le truc hyper volatile, peu manoeuvrable et peu ouvert aux débats
contradictoires... qu'est la chiennasse bandante harcelée par tous
les hommes ! A LONG TERME ! Tenir un engin de guerre à la maison
exige d'être bon. Très bon ! Meilleur que 95% des mecs. Sur la durée
en plus. Parce qu'un engin de guerre, c'est un engin qui au moindre
moment de faiblesse, au moindre choc, à la moindre contrariété, se
fait embarquer par un autre. A moins que l'engin soit suffisamment
bien harponné pour ne plus bouger...
Je ne parle pas d'une femme
normale, issue des 80%. Quelle différence ? Il existe en fait une
hyprocrisie dans ce domaine. Les femmes normales n'imaginent pas
trop le niveau de harcèlement que subit la femme au physique
explosif. Il faut fréquenter le quotidien d'une bombe atomique qui
se fait aborder cinq à dix fois par jour, chaque jour de la semaine,
chaque mois et chaque année de sa vie, pour piger la différence.
Obligatoirement, le jeu se complique car la femme en question
devient intenable. D'où le défi...
Résumons !
Comme je le disais au chapitre 17,
Ch17.html, et au chapitre 13
Ch13.html il y a environ
10% de classe 4 et 10% de ces 10%, soit 1% qui trouvent le
partenaire adéquat, selon les études terrain. Or, nous savons qu'il
y a environ 3 milliards de femmes sur terre. Faisons abstraction des
500 millions d'africaines. Je ne suis pas fana ! J'ai donc 30
millions de cobayes potentiels sachant que la victoire est acquise
dès le premier exact match. Certes, sur ces 30 millions de femmes
target, il y a la composante bandante qui accompagne le mot
chiennasse. Imaginons que j'ai une proba de 1% sur la double requête
bandante et chiennasse. Cela fait 300.000 femmes sur terre.
Il m'en faut une pour faire mon
expérience.
Comment faire pour attirer une
femme parmi 300.000 sur 3 milliards au départ de possibilités ?
La question est donc :
Qu'est ce que ces 300.000 femmes
peuvent avoir en commun vu leurs caractéristiques chiennasses et
bandantes ? J'ai brossé un portrait robot imparfait, mais qui suffit
pour les tracer et les attirer.
Car il y a deux composantes. Un,
choper et deux, verrouiller !
Ensuite, j'ai renversé la
question. Qu'est ce qu'un homme doit absolument avoir pour attirer
cette race de femmes et la maîtriser, car obligatoirement ensuite,
la problématique est réglée. Quand on est un homme normal, si on
fréquente 100 femmes d'une catégorie bien identifiée, il y en a
forcément un pourcentage qui sont prêtes à s'engager à fond, surtout
si on sait optimiser son propre jeu avec ce qu'il y a de
contrôlable.
Une fois qu'on tient ces
paramètres, le mécanisme de mise en position de faiblesse est simple
! Ultra simple ! Car oui, les femmes ont une faiblesse majeure dans
leur jeu amoureux, qui repose sur leur configuration d'enfance.
La réponse est ici sur mon blog
de THAILANDE :
http://www.charlesdereeper.com/vivreenthailande/ch7.html
C'est depuis le Costa Rica que je
vais préparer et démarrer mon opé, mes deux Antoine en support
aérien et quelques autres énervés qui n'ont pas renoncé à se battre
!
HAHAHAHAHAHAAH.....
Pour finir, je discutais
récemment avec un auteur de 60 ans qui a une longue expérience de la
vie internationale. Il me soulignait un point phare : les hommes
cherchent, cherchent et cherchent leur petite femme à eux sans
trouver. A la fin, ils s'essouflent, craquent et prennent la
première du moment de faiblesse en faisant un gros compromis, lequel
compromis leur explose à la tronche des années plus tard.
J'en ai vu beaucoup
effectivement.
Il y a un autre point qu'on voit
sur le terrain, en dehors de la faiblesse de la volonté, c'est
l'absence de connaissance. Beaucoup d'hommes ne savent pas bien ce
qu'ils veulent ou alors, ils savent exactement ce qu'ils veulent,
mais pensent que c'est impossible à avoir et abandonnent dès la
ligne de départ le combat, en choisissant autre chose qui leur pète
aussi à la gueule des années plus tard.
Je dédie cette page à Franck,
français de 23 ans de Bangkok, tombé sur le champs d'honneur de
l'amour face à une thaïe bandante à mort (18.000 fans sur sa page
facebook, une véritable arme de guerre). Son histoire m'a énormément
fait réfléchir. Sans stratégie élaborée ou un gros atout au départ
dans son jeu (et il en avait pourtant un), un homme n'a presque aucune chance de gagner ce truc
cruel qu'est la relation amoureuse.
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