CE QUE J'AIME FAIRE A OJOCHAL
Ojochal, c'est toujours
l'occasion de me mettre au vert et de me nettoyer.
Les pays tropicaux sont pour
cela des paradis. Tout est à disposition et même à profusion autour
de nous.
Pour la peau, je me tartinne tous
les trois jours d'Aloe Vera qui pousse autour de la maison que je
coupe 10 minutes avant utilisation. Effet redoutable pour avoir une
peau de bébé.


Je m'avale du curcuma frais tous
les trois jours également. Il traine entre les salades et les
tomates.

Pour les salades, j'ai une
manière bien à moi de les manger... Oscar me prépare une vingtaine
de pieds et je prélève une feuille sur chaque pied tous les deux ou
trois jours. Elle croque. C'est une tuerie. C'est de la feuille
fraîche qui vient de naître...

Y a pas mal de poireau qui avec
les oignons revenus dans de l'huile d'olive, se mélangent bien aux
pommes de terre qu'on achète.

Au niveau alimentation, je
carbure depuis 8 mois aux fruits en quantité, riz, quinoa, avoine,
lentilles, pois chiches et pois cassés, sarazin (J'arrive à trouver
du sarazin à Bangkok, mais au Costa Rica, je dois le rapporter de
France et une fois sur deux, ils me le piquent à la douane, estimant
que je vais le planter et que ce sont des graines
agricoles. Attention, j'ai le droit de prouver qu'ils ont tort. Pour
cela, je dois remplir des formulaires et faire des demandes
d'importation au ministère de l'agriculture du Costa Rica. Si mon
dossier aboutit, j'ai le droit de récupérer mes deux paquets de
sarazin saisis au bout de 5 semaines environ... ce qui tombe bien parce que
généralement, je ne reste que 4 semaines d'affilée au Costa Rica.
Donc c'est très pratique pour moi... en plus, nous parlons de deux
paquets de 500 grammes. Je suis un dangereux agriculteur capable de
révolutionner l'éco système du pays avec une graine qui ne peut pas pousser
en zone tropicale et qui pourrit avant même de germer, comme pour le
blé... Je vous laisse deviner la tronche que je tire quand la
douanière toute fière d'elle m'annonce ce genre de conneries. Déjà
que j'ai un respect limité des bureaucrates et fonctionnaires,
quelque soit le pays où je me trouve, et donc une patience très
courte, mais quand ils font leur show de ce genre, ahh c'est
insupportable. On ne peut pas s'empêcher de se dire que ça les fait
jouir que de faire chier le monde. Bon en même temps, je tente de
relativiser. Quelle punition que de se vivre fonctionnaire pendant
30 ans de sa vie...)
Au niveau protéine, j'ai fini par
faire depuis un an un truc radical. J'achète de la protéine de riz
bio fermenté qui contient l'ensemble des acides aminés. Rien à voir
avec les protéines utilisées par les bodybuilders à base de soja ou
de lait, qui sont en plus accompagnés de trucs pas catholiques qui
facilitent la récupération. J'ai testé... Ah ca, je peux enquiller 5
séances de muscu fastoches avec, même en ayant très mal dormi la
nuit précédente.
Ma contrainte, c'est que je
continue de penser que nous mangeons tous beaucoup beaucoup trop. Et
qu'il y a tout à gagner à ralentir le métabolisme de base tant au
niveau de la santé (l'activation des mécanismes de survie au niveau
cellulaire les rend beaucoup plus résistantes aux infections, virus,
maladies diverses car nous avons évolué dans le manque pendant si
longtemps que notre pire ennemi est l'abondance), que de la vitesse
du vieillissement du corps humain (qui reste à ce jour le seul truc
prouvé scientifiquement).
D'un autre côté, si on ne veut
pas apparaître gauler comme une crevette asiatique, il faut
accélerer le métabolisme de base pour développer sa musculature. Ce
qui nous donne une sacrée contradiction à gérer.
Je fais depuis un an une
expérience.
Je vois bien qu'il est impossible
pour moi de manger des oeufs, du poisson, de la viande en quantité
suffisante pour couvrir mes besoins. Il faudrait que je mange 5
oeufs par jour mini ou que j'avale un stock de viandes et poissons.
C'est impossible. De toute façon, dès que je me remets à manger
normalement, j'étouffe. Mon corps est incapable de gérer de la
protéine animale deux fois par jour. J'ai un sale goût en bouche.
Une baisse d'énergie. Mon rythme de croisière, c'est des crudités et
fruits à gogo en illimité, toujours aucun produit industriel et un
seul vrai repas par jour.
Je prends donc depuis six mois en complément, 40
grammes de protéines de riz par jour en deux prises, à 12h d'écart.
Cela me permet de maintenir mon régime très basse calorie et de
faire du sport (4 séances par semaine). J'ai commencé à gonfler au
niveau musculaire malgré la faiblesse de mes calories.
C'est important pour deux
raisons. A partir de 40 ans, on perd chaque année entre 1 et 2% du
muscle. Donc, à l'âge de 40 ans, faut mettre le paquet et développer
un stock de muscles suffisant pour gérer la durée. Je m'y emploie
activement depuis mai 2013.
J'ai essayé avant avec deux
séances par semaine, mais cela ne marchait pas. J'étais trop mince.
En montant à 4 séances, je suis parvenu à développer lentement mais
surement ma masse, sans bouffer.
S'il y a bien en plus un truc que
je n'aime pas du tout, c'est le bide des mecs de 40 ans et plus...
C'est pas beau. Donc je passe à la torture 4 fois par semaine les
abdos, les latéraux. Je suis au point pour cette partie. Mais il me
reste à perfectionner les lombaires de côté. Les lombaires à
l'arrière, c'est plié de longue date. Mais ces saloperies de
lombaires sur les côtés, la fameuse poignée d'amour, j'ai un peu de
mal à me les faire... Certains dans mon entourage me préconise de
faire 4 fois par semaine 40 minutes de cardio au réveil sans rien
avaler à part du thé. Ca prend la tête. J'ai pas envie de faire de
la cardio au réveil. Et puis 40 minutes fois quatre, ca donne 160
minutes. Ce n'est pas très Pareto ce plan...
Je préfère de loin me trouver un
mouvement avec 15kg de poids qui va développer le muscle local et
affiner le visuel plutôt que de fondre globalement. Bon attention je
cherche pas les 6 packs. Mais entre les 6 packs visibles et le
ventre tout mou et bedonnant des mecs de 40 ans et plus, il existe
un juste et bon milieu. J'y suis presque.
La deuxième raison, c'est que les
femmes dans les pays émergents apprécient la masse musculaire. Elles
sont différentes culturellement des françaises qui se la joue
intello. Et se faire palucher par une femme qui a du désir physique,
cela reste des moments très agréables qui valent le coup.
Sinon, je m'avale toujours une marque
spéciale d'omega 3 qui me fait une belle peau. J'ai testé de
nouvelles marques quand j'oublies d'embarquer celle là. Aucun effet.
Je pense qu'il y a pas mal de trucs louches dans ce domaine. Les
gars qui vendent ma marque ont bien communiqué sur tout ce qu'il
avait fait pour produire de la qualité, expliquant comment les
autres produisaient et pourquoi eux ne voulaient pas de ces process
de production. En bout de course, ils sortent un produit 50% plus
cher que la concurrence. Mais il se trouve que c'est le seul qui me
fait de l'effet. Donc je suis client. Ils ont probablement raison
dans leur approche.
Et je prends du magnesium très
régulièrement, 5 fois par semaine.
J'ai presque totalement arrêté
l'alcool (une fois par mois environ) et deux fois par mois du vin
rouge, sauf quand je suis en avion (l'avion, cela compte pas. Je me
pète la tronche à chaque fois avec rien. Ivresse maxi grâce à
l'altitude. J'ai mes combines là aussi. Ils servent du vin dégueu à
bord la plupart du temps. Mais à Madrid, ils vendent du bon petit
vin espagnol en petites fioles qui tiennent dans la poche. Il est en
effet interdit d'apporter son propre alcool à bord. Mais vu que les
interdits, je ne suis pas doué pour les respecter, et que être ivre
me plaît alors que trop boire ne me plaît pas, je ne résiste pas à
mon stock de deux petites fioles qui suffisent pour m'envoyer planer
4 heures. Chuuut, pas le droit de le répéter).
Je purge aussi avec du thé blanc
et vert en masse et des jus de citron dulce du jardin. Un peu de maracuja par
dessus.
En fin de journée, si je ne fais
pas de sport, je vais me prendre un bain de mer vers 17h00 quand le
soleil tombe dans le pacifique, magie des plages orientées plein
ouest. Déserte la plage... A priori, cela ne fait pas recette la
baignade en fin d'après midi dans le coin...
Une fois par semaine, je me fais
un jus de noni. J'ai appris à l'avaler. Cela reste en one shot, le
truc alimentaire le plus infâme que je connaisse. J'ai ma technique.
Je commence par le mettre intégralement, peau juste lavée dans un
mixer avec de l'eau. Je filtre le jus obtenu pour virer les pépins
broyés. Puis je le remets au mixer avec 2 ou 3 bananes selon la
taille. A la fin du mix, je rajoute un demi citron vert histoire de
masquer le goût au maxi et de ne pas gerber dès la deuxième
gorgée... après, c'est limite bon au goût. Le citron, c'est magique.
En l'associant avec le gingembre, le noni ou d'autres produits
tropicaux, je trouve que le goût est démultiplié.
Du noni, mon ex femme en a planté
une quinzaine de pieds qui au bout d'un an produisent des kilos de
tous les côtés. C'est le genre de plantes tropicales magiques. Elle
pousse dans de la terre de merde non fertilisée. Elle domine les
autres espèces autour et en plus, en bout de course, elle sort un
fruit aux propriétés santé très élevées.

Les ananas poussent par centaines
désormais. La règle en vigueur depuis trois ans (un ananas mangé est
un ananas planté) a fini par payer... Je me sers
chaque semaine dans le jardin. Celui que je vais manger ce soir, est
sous vos yeux au milieu des feuilles de balsa, l'arbre gidantesque
qui surplombe ma petite réserve locale d'ananas, une vraie petite
usine à fertiliser ce balsa.

Le fameux balsa immense sur la
gauche...

Les noix de coco que j'ai rapporté
de la plage tout juste germés ont bien grandi en trois ans.

Les papayers crachent des
dizaines de kilos de papayes, malgré les attaques en piqué des
toucans qui sympathiquement, n'oublies jamais d'en laisser la moitié
après leur passage. Exemple en image !

Le toucan en question... Il y en
a 4 ou 5 qui viennent au coucher du soleil presque tous les jours,
sur l'arbre proche de la maison.

Je traîne tous les jours ou
presque dans le jardin. Avec 5 hectares, j'ai de quoi observer. Je
suis tombé sur un drôle de végétal. Le rose est proche du fushia.
Dans cet océan de vert, le constrate est saisissant !


J'ai toujours la passion des
bambous. Je pense qu'en 2014, je vais en planter plein. Je vais
essayer de nombreuses espèces. Les bambous ont le pouvoir de me
relaxer. En plus, il n'y a rien de mieux pour éviter d'entretenir un
jardin. Ils écrasent tout sur leur passage, déposant un tapis de
feuille au sol. C'est très pratique. Ci dessous en dehors des tiny
bamboo que j'ai, je n'ai que deux espèces, les verts à épine et les
jaunes rayées vert.


En dehors du monde végétal, mes
chats m'occupent beaucoup. J'envisage de plus en plus sérieusement
de créer un refuge pour chats. C'est un carnage. Philippe et
Mireille qui tiennent la boulangerie sont aux premières loges. La
mère de mes propres chats. Disparue ! Une de ses filles a eu une
portée. Philippe et Mireille l'ont nourri jusqu'à ce qu'un jour,
Philippe découvre le petit chou en train de se faire becter par un
boa. En ce moment, il y a un deuxième bébé super câlin selon
Mireille. Savoir qu'il va crever pour servir de viande est une idée
insupportable pour moi. Je vais le prendre à mon retour. Je ne peux
pas le laisser.
Je réfléchis donc à un grand
enclos grillagé pour abriter une colonie de chats. Je leur mettrais
des arbres, des maisons, de la bouffe. Mais il faut que je trouve un
moyen de les protéger de tous les prédateurs. Ils sont en effet en
bas de chaîne alimentaire ici contrairement à la France où ils ont
juste à redouter des renards.
En attendant, les miens sont au
Club Med peinard. Y'en a pas un qui demande à sortir. Tous ceux qui
ont l'expérience des chats en conviendront. Un chat qui veut sortir
gratte inlassablement la porte ou la fenêtre jusqu'à ce qu'un humain
craque et ouvre. Je n'ai jamais eu aucun grattage de porte ou de
fenêtre. Le club Med leur convient. Ils s'éclatent tous les 4
ensemble. Je n'ai jamais vu de chats aussi proches de toute ma vie.
Ils jouent, dorment, mangent ensemble. Etonnant et très joli
spectacle dont je ne me lasse pas.
Rouquin cultive toujours son
style de position bien à lui... Il est resté dans les 10 minutes
comme cela perché dans le vide...

La boîte à chat est devenu un RDV
prisé pour la sieste entre copines... Contact rapproché garantie !

La vie est dur au Club Med la
nuit. Il faut savoir se reposer en journée !

Rouquin lui confirme en levant le
pied le jour aussi !

L'appareil photo, c'est un truc
plus qu'étonnant pour certains. Danger ou pas danger ?

Dehors, c'est dangereux...

Dès fois, des oiseaux ratent leur
pilotage et se crachent dans la fenêtre en piqué à la japonaise à
Pearl Harbor. Là, même la petite dans le fond se réveille tandis que
les deux autres sont déjà en alerte générale !

Enfin, le Costa Rica occupe mon
pognon et ma créativité avec la construction de maison. La troisième
me plaît beaucoup. La deuxième aussi du reste, mais elle est habitée
par Oscar et sa famille élargie. La troisième est pour moi. Tout le
monde s'est amélioré, que ce soit en vitesse de construction ou pour
moi, en conception de lieu de vie. Je salive d'avance d'emménager
dedans.
Déjà grâce à Emmanuel, j'ai
obtenu une mise à jour de mes papiers. J'ai le permis pour mon
chemin. La découpe en six lots est en cours d'homologation. Je n'ai
plus qu'une seule source d'emmerdes, c'est d'amener l'eau, internet
et l'électricité à 300 mètres de la route, en pleine jungle. Il est
prévu de coller une ligne haute tension puis un transformateur sur
place pour dispatcher entre différentes maisons. Ca, ce truc là,
c'est la merde à gérer. Et cela va couter une blinde, autour des
25.000 dollars en global.
J'ai un autre dossier où j'ai
manqué un peu d'audace. Oscar m'a rassuré. On forme vraiment une
excellente paire ensemble. Quand il faiblit, je suis là à pousser et
quand je faiblis, je sens sa conviction qui me booste et on repart
ensemble gonflé à bloc. Même pas peur. Bon là, j'avoue, y a besoin
de terrasser le chemin et un plantel. J'étais pas chaud du tout. Je
manquais d'audace. Faut faire venir un gros buldozer. Et puis, les
semaines ont passé. J'ai gambergé et maintenant, je suis chaud. On
va arracher une colline entière. Il n'y a pas un arbre dessus. Allez
on ne recule plus bordel. On modèle et on s'impose.
Ce n'est pas évident de faire
notre activité. Prendre le contrôle de la jungle, à l'arrache, je
trouve même que notre petit team s'est démerdé méga bien. Il n'y en
a pas un qui a fait un quelconque de débuts d'étude dans le
domaine... Le petit
tracto que j'ai, aura largement été amorti. Il a servi à transporter
tous les matériaux de A à Z en plus du reste. Je reste saisi par la
création des maisons en bois. Minor mène la bande sur un plan
technique. Oscar est le gestionnaire. Il planifie et achète. Odir
suit.
Toujours est il qu'on a sorti une
troisième maison et celle là, je la kiffe. L'intérieur est
magnifique. J'ai collé un mur entier de vitres. Du teck partout pour
les meubles, des murs intérieurs en eucalyptus et la structure plus
la couche extérieur en pin classe 4. Une grande pièce de vie avec
une cuisine centrale comme j'ai à Bangkok, une salle de muscu avec
salle de bains. Deux chambres extérieures reliées par deck avec
salle de bains indépendantes chacune dans un bungalow de 30m² pour
une intimité maxi.
Les bungalows donnent sur la
forêt avec un terrain en pente qui fait une superbe impression quand
on est dedans. Je vais mettre au milieu une piscine en pierres de
rivière.
Meubles en teck vernis dans les
salles de bains.
Le lieu est magique et offre la
sensation d'être au milieu de nulle part. Je vais réaliser dans deux
mois à mon retour le déménagement le plus court de toute mon
histoire. Après avoir envoyé mes meubles de France à Bangkok il y a
trois mois, réalisant ainsi le déménagement le plus long de mon
histoire, 12.000 bornes, je vais cette fois ci faire un énorme bond
d'environ 300 mètres. Le grand écart décidément en 2013 pour moi !
J'ai fait une seule connerie sur
cette troisième maison. Je n'ai pas prévu d'évacuation de l'air
chaud. Heureusement, la construction bois est tendre avec ses
créateurs. Minor a tout de suite vu comment faire en créant un
chapeau au milieu. A Ojochal, ils ont déjà fait le coup sur un
restaurant.
Ci-dessous, à droite la forêt, à
gauche, une vue imprenable sur la montage et une petite colline du
terrain.

Une autre vue il y a deux mois.

La baie vitrée est en place. Elle
domine le champs de bananiers et papayers qui a bien poussé en deux
mois.

A l'intérieur, l'ambiance est
comme j'aime, tropical et bois à mort. J'aime le style rustique. Il
reste quelques finitions type luminaires et surtout, l'électricité.
Ce n'est pas ma dernière maison, mais je vais être confort dans ces
150 m². Ce sera définitivement l'un des meilleurs lieux de vie que
j'aurais fréquenté.

On teste des nouvelles formes de
meuble teck aussi, avec ce fauteuil bas que Oscar s'est fait. Je suis
en train de faire des recherches de mon côté pour designer un gros
canapé d'angle tout en teck.

Voilà en gros ce que j'appelle se
mettre au vert au Costa Rica, coupé du monde, peinard. Des meubles,
des maisons, du jardin, de la forêt et rivière sauvage, des animaux,
de la bouffe, la mer et un climat tropical qui fait qu'on est jamais
à se peler les burnes en manquant de lumière dans le ciel tout en se
foutant sur la gueule avec ses congénères... Ah j'oubliais dans ma
définition de se mettre au vert. 0% d'impôts ou presque et personne
pour exiger des papiers à remplir du matin au soir, 52 semaines par
an. Ya juste l'immigration qui chauffe les oreilles. Tolérable...
Il paraît que cela fait rêver.
Je constate juste que mon ex
femme a fait un gros rejet suffisamment énorme pour foutre en l'air
notre histoire qui valait le détour (il y avait une vraie qualité de
relation, unique en son genre) et qu'autour de nous, les
candidats arrivants à Ojochal sont assez rares.
Je ne dois pas être normal... P4
a l'habitude de me dire Tonio.
Il n'y aurait pas deux ou trois
P4 parmi vous cher lecteur ? Car je vais ouvrir mon projet en créant
une petite communauté de 3 maisons sur ce terrain. Je ne cherche pas
un acheteur. Je cherche avant tout des gens qui partagent un mode de
vie, la mise au vert...
Pour terminer, une vidéo. Je n'y
connais absolument rien à la vidéo. Et je suis nul pour en faire. Je
matais l'ananas que j'allais me manger les jours suivants (je
faisais du repérage) quand un drôle de papillon
tout bleu à l'intérieur de ses ailes est arrivé sur la papaye d'à côté... A noter
le son unique et magique des pays tropicaux en arrière plan...

Lien pour télécharger :
00054.MTS
Je n'ai pas bien compris le format AVCHD. Mais
avec une lecteur média player de windows seven, ca tourne.
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