1 - on écrase par le coeur genre on dissout en mode brutal warrior chakra 4 méditation (ca revient et on redissout, l'énergie du coeur étant la plus puissante de toute)

2 - on supprime les causes en amont à la sauce budhiste genre j'ai plus de désir, de plaisir, d'ego. Je renonce à tout !

3 - on ressent l'émotion au lieu de la repousser et elle s'envole de manière naturelle mais genre la nuit, moi je ressens 3 secondes et non pleinement car j'ai l'impression de destructurer mon moi tellement je suis submergé, ce qui est commun à tous les mecs qui pataugent eux aussi dans leur archaïque

4 - on picole comme un trou pour gagner une nuit sans emmerde de plus au compteur

5 - on se la joue bon parent en essayant de rassurer l'enfant archaique qui s'en branle et continue à péter une durite

6 - on reconstitue notre identité complète avec la partie du moi qu'on connait et la partie archaique qu'on découvre, cette partie archaique étant un mix de trauma, de mémoires karmiques de l'ame et de mémoires karmiques ADN transgénérationnelles familiales, chacun ayant des réjouissances spécifiques, perso, j'ai le droit au full package, avec punition karmique, archétype transgénérationnel totalement défectueux démoniaque et vrillé et enfin un beau trauma de naissance dans les mémoires musculaires du corps, ayant lutté 6h30 pour naître face à ma mère déterminée à m'en empêcher (j'y suis retourné dans ce premier jour qu'en octobre 2020 n'ayant pas suspecté l'impensable)

7 - on s'enferme dans un temple et on fuit la vie, car la vie est un méga trigger à émotions archaiques refoulées...

8 - on appelle dieu en lui disant, tes gentil pépère avec tes conneries, mais moi on m'a vendu la sauce du libre arbitre à l'incarnation, donc tu la livres comme prévu dans le contrat, car pour l'instant, je vois pas comment je peux exercer mon libre arbitre face aux sentiments archaiques qui génèrent mon quotidien en le façonnant et en altérant mes choix.

9 - on s'entraîne à refouler encore plus fort

10 - on devient un spécialiste des pillules (alors qu'elles ne coûtent que quelques cents à produire, les USA dépensent dedans environ 5 milliards $ chaque décennie JUSTE POUR SES SOLDATS... amen)

Le plus drôle c'est que je reçois quotidiennement des emails d'humains ne parvenant pas à réaliser ce qu'ils souhaitent sans même soupçonner les ramifications, tandis que les psy, planqués derrière leur bureau et coupés de la pression de la réalité et des exécutions nécessaires pour créer des rêves conseillent des trucs très drôles mais si déconnectés que c'est juste ahurissant de leur demander de l'aide. Ils n'ont pas la moindre idée de comment dealer avec les archétypes encombrants et les forces du karma. Quand au trauma, il suffit de regarder comment le corps médical échoue presque totalement à aider les soldats de retour du front pour piger que les connaissances sont des plus limitées...

De ma propre expérience, vu la cartographie IRM des cerveaux et la localisation certaine de ces mémoires traumatiques, le seul moyen de les contacter consiste à basculer en onde alpha, sans parole ni ressenti, par le chakra 4, ce qui implique d'avoir autour de soi un puissant émetteur humain spécialiste de ce genre de méditation. Vu que l'Occident est spécialisé dans la production d'humain à courant d'air entre les deux oreilles, capables d'avoir peur du covid en ayant moins de 40 ans sans maladie et d'avoir confiance à chaque fois qu'ils montent dans leur voiture... trouver un mec réellement connecté dans le chakra 4 en mode émission relève de l'exploit olympique

Evidemment, pour un trauma à l'école, où la maîtresse a mal parlé, un petit tapping sur les yeux pourrait révéler cette horrible souvenir... mais quand il s'agit de bob qui a vu john avec qui ils traînent depuis un an sur le front se faire tirer et voir tous ses intestins se déverser par terre tandis que john dans un dernier souffle implore que pote bob prenne soin de son gosse aux USA... le petit tapping tout mignon, ca marche que dalle... Bob y rentre aux US et chaque nuit, il dort zob pendant 20 ans...

Bref, apprécions le zoo humain dans lequel nous crapahutons tous...

Charles